Translation of the song lyrics Les Papiers - Têtes Raides
Song information On this page you can read the lyrics of the song Les Papiers , by - Têtes Raides. Song from the album Fleur de yeux, in the genre Иностранный рок Release date: 14.10.1993 Record label: BMG Rights Management (France) Song language: French
Les Papiers
(original)
Si l’on ne jetait plus nos papiers dans les rues
Le petit balayeur ne travaillerait plus
Au bord de ton veston
Les lèvres endormies
Il a une tête qui fume son clope
Et l’autre main qui nettoie la capitale
Posésur ton talon
O mes doux caniveaux
Mes senteurs d’aurore
Sur la terre qui dort
J’ai vingt ans j’ai trente ans ou peut-être cent ans
Dans un jour une fois plus tard mais qu’importe
On se retrouvera dans la même maison
Pour cueillir en rêvant nos papiers dans les rues
Le petit balayeur met sa belle tenue
Sur la blanche saison
Les feuilles étourdies
L’oeil d’un matin gris dans l'égout qui clapote
Les regrets déversés de la capitale
Les coeurs dans les pochons
O mes lettres froissées
Mes amours d’aurore
Poussent les pigeons morts
J’ai cent ans dans mille ans ou peut-être entre temps
Entre tous les passants vers la même porte
Ton blason c’est toujours la gueule que tu portes
C’est pourquoi j’ai jetémes papiers dans les rues
Ce matin de printemps il avait disparu
Dans un de ses ruisseaux
Il a pris son bateau
Va ranger tes balais les nouvelles ordures
Salue tous les copains de la balayure
Têtes Raides (Les) Lyrics
(translation)
If we no longer threw our papers in the streets
The little sweeper would no longer work
At the edge of your jacket
sleepy lips
He's got a head that smokes his cig
And the other hand that cleans the capital
Placed on your heel
O my sweet gutters
My scents of dawn
On sleeping land
I'm twenty I'm thirty or maybe a hundred
In a day once later but who cares
We'll meet in the same house
To pick up dreaming our papers in the streets
The little sweeper puts on his nice outfit
On the white season
The dizzy leaves
The eye of a gray morning in the rippling sewer
The spilled regrets of the capital
The hearts in the pouches
O my crumpled letters
My dawn loves
Push the dead pigeons
I'll be a hundred in a thousand years or maybe in the meantime