Song information On this page you can find the lyrics of the song Boom boom, artist - Odezenne. Album song OVNI (Orchestre virtuose national incompétent), in the genre Иностранный рэп и хип-хоп
Date of issue: 12.02.2012
Record label: Universeul
Song language: French
Boom boom |
Corinne et Héroïne s’baladaient en métroveineuse dans mon corps |
Dans mes sens, dans tous les sens |
Mon sang se balance à l’aisance de leurs voies |
Corinne et Héroïne c’est mes copines de défonce |
Elles vaguent dans mes veines |
Se mélangent sans racisme à mes globules à une vitesse supersonique |
Le départ est à la station Stalin-Sringue |
Ma dépendance leur fait du gringue |
Pour qu’elles fassent une touristique à vitesse bionique |
Elles narguent le tabac dans mes bronches traitant son charme de jeu d’enfant |
Corinne et Héroïne mes copines de défonce s’enfoncent dans mes tripes à vitesse |
électrique |
Gifflant les acides et leur mal de bide… |
Boom boom, boom boom, boom boom |
Elles se baladent en métroveineuse dans mon corps |
Dans ma vie, dans Paris, dans mon esprit, dans mon compte en banque |
Dans mon sexe, dans mes gestes, dans ma peste, dans les poches de ma veste |
Dans ma réptutation et tout le reste… |
Corinne et Héroïne me consomment la moelle de mes os |
Les dents de ma bouche, les neurones de mon cerveau |
Les pupilles des mes yeux de biche… |
Mes parents ne les aiment pas |
Ils disent d’elles qu’elles sont perfides mais je les aime d’un amour |
père-fille sous perfu' ! |
Ces super filles et leurs voyages qu’elles me payent sans superflu |
Aujourd’hui j’ai deux femmes je suis polygame |
J’aime Corinne et Héroïne habillées de jolis grammes, grammes, grammes |
Boom boom, boom boom, boom boom ! |
C’est Axel qui me les a présentées un soir où elles me firent de belles |
courbettes |
Faut dire qu’elles m’ont rapidement tentées cachées dans cette boîte |
d’allumettes |
Recouverte de plastique |
Corinne et Héroïne ont flirté avec mon hémoglobine et mes rétines à vitesse |
quasi atomique, quasi atomique, quasi atomique… |
Trois années ont passé et elles stagnent toujours dans ma viande |
Départ Stalin-Sringue, elles prennent ma lucidité et la vendent à celle qu’on |
appelle la Faucheuse et cela me fait peur |
Qu’un jour elles accèdent au terminus le Sacré-Coeur |