| Avalépar des yeux immenses
|
| En parler comme si c'était les miens
|
| Nager dans tes yeux leur élégance
|
| Voilàque moi, je baisse les miens
|
| Longer tes jambes, immenses
|
| Tout ça mais comme alors si de rien
|
| Et ta démarche, quelle élégance
|
| Si l’on marchait jusqu'àdemain
|
| On serait peut être au bout de la France
|
| Marseille, munhun (?) en fait j’en sais rien
|
| Ça parait possible en apparence
|
| Possible, si tu veux bien
|
| Février en Chine, quelle joie quelle chance
|
| On a marchéregarde bien plus loin
|
| Que nous le laissaient penser les apparences
|
| Est-ce que l’on reste, est-ce que l’on revient?
|
| Bien sûr que l’on reste, c’est une évidence
|
| Au bout du monde…
|
| Au bout du compte on reste un bout de la France
|
| Au bout du monde ici on se sent bien
|
| Longues tes jambes, immenses
|
| Tout ça mais alors toujours comme si de rien
|
| Et ta démarche, quelle élégance
|
| Si l’on marchait encore plus loin…
|
| Nous sommes au Mali quelle fête quelle chance
|
| Demain serait une chose que l’on obtient
|
| Àchercher plus loin que toutes les apparences
|
| Est-ce que l’on reste, est-ce que l’on y tient?
|
| Avalépar tes yeux immenses
|
| En parler comme si c'était les miens
|
| Noyédans ces, leur élégance
|
| Si l’on regardait un peu plus loin
|
| Oui mon chapeau, c’est une évidence
|
| N’a rien àvoir avec le tien
|
| Mais notre amour, notre exigence… |