Song information On this page you can find the lyrics of the song Mise à flow, artist - Davodka. Album song Mise au poing, in the genre Иностранный рэп и хип-хоп
Date of issue: 09.12.2015
Record label: LeVers2Trop
Song language: French
Mise à flow(original) |
Tu reconnais l’impact du c-me qui pose, qui parle d’une vie de chien à s’en |
donner la patte |
Tu t’prends pour un crack donc v’là l’ecchymose, j’t’envoie vers les cieux car |
j’ai rodé la cave |
Très loin d’la magie de Disney, tous les flics te cuisinent parce que là t’es |
fait comme un rat |
Ça sonne comme un viol auditif, autant dire que je viens de rentrer dans |
l’arène comme un roi |
La vie est un combat quand on déboule y’a pas d’coup bas, c’est un complot tu |
l’as compris juste un couplet et le coup part |
Alors crois pas que les dégâts se minimisent, on t'élimine c’est DVK qui fonce |
dans le tas pour mieux repousser ses limites |
Passons à l’attaque, arrêtons d’bavarder, le ciel sera loué quand les poulets |
se feront canarder |
Ça cavale sans lâcher, travail à la chaîne, j’ai pas la santé, trinquez à la |
mienne |
Les flics te ramassent à force de faire le dur, le fric te nargue c’est le nerf |
de la guerre |
Moi j’m’en fous d’la caillasse, j’ai tellement fait le mur que je reste de |
marbre quand on m’jette la pierre |
Je défonce les barrages même en manquant d’air pur, on se cache dans le noir, |
coincé dans ma tanière |
Ça travaille mes méninges, le regard vers la lune, et ma rage se dévoile pour |
hisser ma bannière |
J’prends une bouffée d’air, tout est dead, j’roule des pers', te casse la |
bouche et tout déferle |
Tu veux du bête de son, on débarque dans l’heure, et si tu crois qu’on tourne |
en rond c’est que t’as le compas dans l'œil |
Écoute cette douce mélodie qui résonne, c’est l’récit d’une cigale parmi les |
cafards |
J’admire ma ville et puis je me questionne comme ce gosse qu’est à peine sorti |
du placard |
J’ai peur que mon heure sonne alors j’utilise ma feuille comme recueil |
Approche ton oreille et t’entendras le vent qui souffle de mon porte-feuille |
Elle marque une page cette drôle d'époque, et j’ai tellement la rage que mon |
son te dévore |
Ouais j’suis dans les parages et ça décore les stores, je décrasse tes oreilles |
tout comme Destop |
Il faut que l’on crame le corps des porcs, sur le beat on s’exclame, |
on défonce les portes |
Soit tu fonces dans le tas et t’ignores les stops, ou tu passes à la trappe |
tout comme Money Drop |
On passe à l’attaque là tu t’manges cette frappe, tu digères la claque car je |
marche rhabat |
Et les flics me traquent quand je flaire l’arnaque, j’ai toujours le trac pour |
le sort de mes proches |
On m’dit «mais Davodka dans combien de temps vas-tu percer ?», là n’est pas la |
question donc je me lance comme le RC |
Pour faire de l’argent combien de sang vas-tu verser ?, moi j’avance pas comme |
un mouton face à l'étoile du Berger |
J’suis un satellite, autour d’une 'teille ma vie gravite |
Le jaune et le rouge font un carton, d’les siffler ça reste mon libre arbitre |
C’est l’heure de la mise au poing, tu goûteras mes phalanges tant que tu baves |
Ici si tu veux de l’air pur t’as qu’un pot d'échappement comme tuba |
Ici t’as pas d’ami, tu t’manges des patates la nuit, quand les tapins tapinent |
loin du soleil de Pointe-à-Pitre |
Parce que le vice qui mène au mal écoute la zik d’un mélomane, on aplatit ta |
tête ovale quand toute ma clique a l’air au max |
Le doigt sur la détente, c’est tentant, c’est entêtant, et sans détail le son |
t'étale, sans tes thunes et sans tes dents |
C’est l’attentat qui retentit, tant attendu, qui te met des tartes, ça t'étonne, |
tout est à terre, ça détonne et tu détales |
Au total on met des taules à ces têtards en tête d’affiche |
En tête à tête on te fait ta fête, dans cet état on te tétanise |
On t’atomise si t’es tenté, j’ai la patate qui t’enterre |
C’est Davodka, du tout au tout en un couplet qui plie ton thème |
Ouais ouais, ouais ouais… |
Hein hein |
Davodka |
Cenza (V'la l’histoire), L’uZine, (MSB) |
J’arrache le beat, attrape le titre, rafaler les flics, c’est ma tournée |
Avale ma rime, attache le shit, pour passer la douane à fond dans la journée |
La rapidité sur une instru ne vient pas d'être inventée, je la rappe, |
je n’m’enfile pas de la Trap |
Peux-tu sentir en toi la puissance s'écrouler? |
La rime m'éclabousse à chaque |
fois qu’je la frappe |
Sur les petits mais t’es vert, quand je prend le micro là, pour le fêler sans |
me freiner |
De laisser brûler de la fumée, de la sceller dans des CD’s, obsédé d’idées de |
mener ma secte de fêlé, ah ! |
Quand je pète le beat, à l’habitude, le bitume et le béton |
Pas le bâton ni le maton ne m’empêcheront de balader tous ces pédés, rafalés, |
dans mes chansons |
Charge les bastos, nettoie le matos, voici la mitraillette humaine pour les |
vatos |
Tiens voilà ta dose, non tu n’es pas défoncé l’ami, entend bien la voix filer, |
c’est comme ça qu’j’pose |
Des mots démodés, cernez mon vocabulaire, j’crois qu’même «Montreuil» |
n’est pas dans le dictionnaire |
Vois de l'œil d’un visionnaire et téma le doc' qui opère, et tu peux commencer |
à corriger avec un stylo vert |
Balader la mélodie, bien laver la maladie, L’uZine mon fanatisme, |
ma secte jusqu’au paradis |
Non je ne sais pas d’où vient mon inspiration, l’art et la manière de maîtriser |
la respiration |
Fallait pas chercher les maîtres dans la matière ou démentir, ne fais pas le |
narvalo, tu finiras par le sentir |
J’ai lâché le flow d'énervé, craché, de pire en pire, sens la morsure du |
vampire qui te… |
T’es vert, c’est la merde, c’est la guerre, t’es pas vert, sur les p’tits, |
tu faiblis, suis les cris d'épilepsie |
Salivez, la vie s'élève sur les minis petits… Chaque fois qu’j’charcute |
saloperie d’instrumental |
Te manipuler en une minute, sans les menottes, à mon poignet, sans minimiser le |
minimum amené |
Mais non, mais non, même moi je mène mal la mélo molle, mon ami j’ai mis le |
mille et mille mots de mélomane |
On entrave absolument rien du tout, vu la rapidité quand je pénav sur |
l’instrumentale |
Écoute la langue épileptique, défile vite, défie le beat et puis débite, |
appelle le but, abat l’arbitre, tape à la vitre |
Et crie tout haut «Geronimo» avant de sauter dans la foule, défoule à fond et |
fais le fou, défilez-vous, je fous le feu |
Même moi et mes narvalos, tant attendus, arrête-toi, dix doigts dedans et tout |
est dit, pas là pour papoter ni plaire ! |
(translation) |
You recognize the impact of the c-me who poses, who talks about a dog's life without |
give paw |
You think you're a crack so here's the bruise, I'm sending you to the skies because |
I rode the cellar |
Very far from the magic of Disney, all the cops cook you because there you are |
act like a rat |
Sounds like aural rape, might as well say I just walked into |
the arena like a king |
Life is a fight when you tumble there's no low blow, it's a plot you |
got it just one verse and the shot goes |
So don't think the damage is minimizing, we're eliminating you, it's DVK who's going |
in the heap to better push its limits |
Let's attack, stop chatting, heaven will be praised when the chickens |
will get shot |
It's on the run without letting go, line work, I'm not in good health, toast to the |
mine |
The cops pick you up for being tough, the money taunts you it's the nerve |
of the war |
Me, I don't care about the stone, I made the wall so much that I remain |
Marble when someone throws the stone at me |
I smash the dams even when I run out of clean air, we hide in the dark, |
stuck in my den |
It works my brain, the gaze towards the moon, and my rage is revealed for |
raise my banner |
I take a breath of air, everything is dead, I roll people, break you |
mouth and everything breaks |
You want some sound, we'll be there within the hour, and if you think we're shooting |
in circles is that you have the compass in the eye |
Listen to this sweet melody that resounds, it's the story of a cicada among the |
cockroaches |
I admire my city and then I question myself like this kid who just left |
cupboard |
I'm afraid my time is ticking so I use my sheet as a compendium |
Approach your ear and you will hear the wind blowing from my wallet |
She marks a page in this funny era, and I'm so angry that my |
its devours you |
Yeah I'm around and it decorates the blinds, I clean your ears |
just like Destop |
We have to burn the body of the pigs, on the beat we exclaim, |
we break down the doors |
Either you rush through the pile and ignore the stop signs, or you fall through the cracks |
just like Money Drop |
We go on the attack there you eat this strike, you digest the slap because I |
rabat market |
And the cops hound me when I smell scam, I always get nervous for |
the fate of my loved ones |
I'm told "but Davodka in how long are you going to break through?", that's not the |
question so i start like the RC |
To make money how much blood are you going to shed?, I don't move like |
a sheep facing the Shepherd's Star |
I'm a satellite, around a 'bottle my life revolves |
The yellow and the red are a hit, to whistle them it remains my free will |
It's punch time, you'll taste my knuckles as long as you drool |
Here if you want clean air you only have a muffler as a snorkel |
You don't have any friends here, you eat potatoes at night, when the tapins are tapin' |
away from the sun of Pointe-à-Pitre |
Because the vice that leads to evil listens to the zik of a music lover, we flatten your |
oval head when my whole clique looks maxed out |
The finger on the trigger, it's tempting, it's heady, and without detail the sound |
Spread out, without your money and without your teeth |
It's the attack that resounds, long awaited, that pisses you off, it surprises you, |
everything is on the ground, it clashes and you take off |
Altogether we're putting these headliner tadpoles in jail |
Face to face we celebrate you, in this state we paralyze you |
We atomize you if you're tempted, I have the potato that bury you |
It's Davodka, all in one verse that bends your theme |
Yeah yeah, yeah yeah... |
Huh huh |
Davodka |
Cenza (V'la l'histoire), L'uZine, (MSB) |
I rip the beat, grab the title, bust the cops, that's my tour |
Swallow my rhyme, tie up the weed, clear customs all day |
Speed on a beat ain't just made up, I rap it, |
I don't put on the Trap |
Can you feel the power within you crashing down? |
The rhyme splashes on me every time |
times I hit her |
On the little ones but you're green, when I take the microphone there, to crack it without |
brake me |
Letting smoke burn, sealing it in CD's, obsessed with ideas of |
lead my sect of crackpots, ah! |
When I break the beat, usually, bitumen and concrete |
Not the stick or the guard will prevent me from walking around all these fags, blasted, |
in my songs |
Load the guns, clean the gear, here's the human submachine gun for the |
vatos |
Here's your dose, no you're not stoned friend, hear the voice go by, |
this is how I pose |
Old-fashioned words, identify my vocabulary, I believe that even "Montreuil" |
is not in the dictionary |
See a visionary's eye and witness the operating doc, and you can begin |
to be corrected with a green pen |
Walk the melody, wash away the disease well, The uZine my fanaticism, |
my sect to heaven |
No I don't know where my inspiration comes from, the art and how to master |
breathing |
You shouldn't look for the masters in the matter or deny it, don't do it |
narvalo, you will eventually feel it |
I let the flow pissed off, spit, worse and worse, feel the bite of the |
vampire who u... |
You're green, it's shit, it's war, you're not green, on the little ones, |
you weaken, follow the cries of epilepsy |
Salivate, life rises on the little ones... Every time I butcher |
instrumental shit |
Manipulate you in a minute, without the handcuffs, on my wrist, without minimizing the |
minimum brought |
But no, no, even I don't lead the soft melodrama badly, my friend, I put the |
thousand and thousand words of music lover |
We're hampering absolutely nothing at all, given the speed when I'm penetrating on |
the instrumental |
Hear the epileptic tongue, scroll fast, challenge the beat and then spout, |
call the goal, shoot the ref, tap on the window |
And shout "Geronimo" out loud before leaping into the crowd, let off steam and |
act crazy, get out of here, I'm setting it on fire |
Even me and my long-awaited narvalos, stop, ten fingers in and all |
is said, not here to chat or please! |