J’aimerais que l’on arrive à se parler de rien
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Que l’on remplisse nos échanges de simples regards
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Que nos silences deviennent un refuge ou notre gare
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Dans le ou laquelle on pourrait se parler de rien
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On se réveillerait le lendemain de nos secrets
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Les draps remplis des illusions que le silence crée
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J’aimerais te parler, mais te parler de rien du tout
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Te parler de nous sans que ne sorte un son de ma bouche
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Je n’ai pas pu te consacrer moins d’cinq lignes
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Pourquoi tout est différent quand le soleil s’incline?
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Elle veille sur mon sommeil comme la gardienne des rêves
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Pendant que mes yeux se ferment, les siens clignent
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Est-ce que tout oublier est le meilleur des stratagèmes?
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Faut-il aussi laisser tout ce à quoi on s’rattachait?
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On trouvera un titre à notre histoire, une fois que le page s’ra tachée
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En attendant, nos nuits ont des secondes qui battent plus lentement que les
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autres, peu importe
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Si le temps qu’on appelle durée n’a rien à voir avec l'éternité que j’te porte
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(yeah, yeah)
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Nos nuits ont des secondes qui battent plus lentement que les autres,
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peu importe
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Si le temps qu’on appelle durée n’a rien à voir avec l'éternité que j’te porte
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(eh)
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Ton regard bleu réveille en moi d'étranges rêveries
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Tes yeux m’ont fait oublier que je n’avais que cette vie
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Au moment de s’en aller d’ici, moi, j’imagine
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Que nos yeux se ferment comme une plaie qui cicatrise
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Yeah, eh, eh, eh, eh
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Nan, nan, nan, nan, nan
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Oh nan, nan, nan, nan, nan, nan, nan, yeah
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Nos deux mains qui s’enlacent puis, lentement, nos deux corps
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Parlent un langage qui provient d’un autre monde
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Est-ce que tu sais où l’on s’en va pendant que l’on s’endort?
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Je pense qu’elles se rejoignent nos deux âmes vagabondes
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Car j’amène ton absence dans chaque endroit où je vais
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Depuis, comment veux-tu que je crois cette phrase qui dit que tout se perd?
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Si nos chemins se séparaient, qui de nous deux se retournerait?
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Comme d’habitude, la réponse, je ne l’ai pas mais je sais que
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J’aimerais que l’on arrive à se parler de rien
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Que l’on remplisse nos échanges de simples regards
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Que nos silences deviennent un refuge ou notre gare
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Dans le ou laquelle on pourrait se parler de rien
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On se réveillerait le lendemain de nos secrets
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Les draps remplis des illusions que le silence crée
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J’aimerais te parler, mais te parler de rien du tout
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Te parler de nous sans que ne sorte un son de ma bouche |