| Les gens que l’on rencontre au hasard des files de fils de vie
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| Les gens que l’on vous montre qui seront un jour de vos amis
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| Mfiez-vous des uns, mfiez-vous des liens qui tournent autour d’eux
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| Tranquilles, dangereux, subtils, c’est tellement bien
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| Dans leur esprit mobile
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| Ils vous disent que tout va bien, tout est bien quand mme
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| Pour leur amour fragile, vous vendez votre me pour qu’on vous aime
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| Pour faire le plein d’amour, pour quand vous serez sous terre, aveugles
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| Livides, tout seuls, hlas, le temps fracasse
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| Et moi, pour qu’on m’aime, je vendrais mon me au plus offrant
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| Au diable mme, s’il rayonnait d’un feu mauvais, tout douceureux et laid
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| Et j’ai besoin de vous
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| J’ai besoin de tous les moments qui vous rendent fous
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| Mon esprit sentinelle ragit toujours quand on l’appelle
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| Faire le plein d’amour pour quand je serai sous terre, aveugle
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| Livide, toute seule, hlas, le temps vous casse
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| Moi, pour qu’on m’aime, je vendrais mon me au plus offrant
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| Au diable mme, s’il rayonnait d’un feu mauvais, tout douceureux et laid
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| Et j’ai la musique au moins, c’est tout ce qui me restera demain
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| Ci-gt mon destin, brl sous ses ailes, vous ne verrez rien
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| Car tous nos amours sont comme les falaises qui tombent dans l’abme
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| De lumire sublime, des terres o tout le monde sombre
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| O tout le monde tombe. |