| Les embrouilles à deux balles, les espoirs, le meilleur et le bleu des condés
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| Je sais de quoi je parle, j’ai fait tellement d’erreurs, je ne peux les compter
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| Petit con, petit con, petit con, petit con
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| Alors comme ça tu vends d’la drogue? |
| Méchant comme Escobar
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| Et dans 20 ans tu seras mort ou comme ces gens qui restent au bar
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| Plus d'école, plus d’entrainement, comme Choupo sur le banc d’touche
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| On me l’a dit «ne cherche pas, petit, les murs ont des grandes bouches»
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| N’oublie pas si tu pensais que tes amis seraient ton ombre
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| Si le placard les menaçait, les trois-quarts donneraient ton nom
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| Avant toi on s’est battu, j’ai vu les flammes, l’Essonne en feu
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| Tu sais vraiment qui sont les hommes quand y a des femmes, des sommes en jeu
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| Toi, toi qui penses que le cellules sont des endroits ensoleillés
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| 72h de fils de putes, faire de son pull un oreiller
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| Petit con n’a rien compris, insouciant, la douche en plus, continu de croire
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| que les sons-pri ne sont remplies que d’ours en peluche
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| Il ne sait pas ce qu’est la drogue, j’ai consommé tellement de merde
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| Tu ne sais pas ce qu’est la mort, j’ai consolé tellement de mères
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| Trop de bruit quand la nuit tombe, sous alcool cela aidant
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| Tu comprendras bien assez tôt quand ton bébé fera ses dents
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| Les embrouilles à deux balles, les espoirs, le meilleur et le bleu des condés
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| Je sais de quoi je parle, j’ai fait tellement d’erreurs, je ne peux les compter
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| Petit con, petit con, petit con, petit con
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| Peu de femmes sont consentantes, un mari qui vend la came
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| T’auras jamais de compte en banque, aucun dealer ne prend la carte
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| Fais des gosses mais n’oublie pas que les erreurs ça rend infirme
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| Que trois parloirs en une semaine ça fait à peine le temps d’un film
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| Et si l’alcool c'était de l’eau, alors écoute, c’est triste à dire,
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| on n’a jamais perdu un frère à cause d’un verre de Cristaline
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| Les victimes ou les gros durs, sache que la mort est transparente
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| On en a vu des gens trop surs qui s’endormaient à 140
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| Hypocrite sera ta cause, Paris la nuit, la vie d’fêtard
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| Manger des pâtes mais sans la sauce, prendre une bouteille à 1000 pétards
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| Bouton rouge sur un boîtier devant des mères qui portent un deuil
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| Tu peux rêver mais à moitié, vendeur de drogue ça dort d’un œil
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| Les embrouilles à deux balles, les espoirs, le meilleur et le bleu des condés
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| Je sais de quoi je parle, j’ai fait tellement d’erreurs, je ne peux les compter
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| Petit con, petit con, petit con, petit con
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| Pas d’argent sur le pécule
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| Le manque du père, j’ai vécu tout c’que t’as vécu
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| Si tu savais le temps qu’tu perds
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| J’vais pas t’faire un exposé, mais chez nous la gâchette parle
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| Tu seras jamais un mec posé, y a des choses qu’on achète pas
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| Calibré alors assume, te fais pas prendre comme un mec bête
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| Si tu tires ça sert à rien d’viser la lune comme Amel Bent
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| Mets ton casque et n’oublie pas quand toute la ville fera silence
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| Que la moto était minime et la douleur sera immense
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| Plus d’amis quand t’es en chien, ça préfère snapper des tainp'
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| Tu comprendras si t’es en taule que tu dois gratter des timbres
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| Le cimetière ou le cachot, et ceux qui t’aiment en pâtiront
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| Quand ce sera chaud, au premier tir, ils partiront
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| Les embrouilles à deux balles, les espoirs, le meilleur et le bleu des condés
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| Je sais de quoi je parle, j’ai fait tellement d’erreurs, je ne peux les compter
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| Petit con, petit con, petit con, petit con |