Song information On this page you can find the lyrics of the song 1 Milliard d'euros, artist - Sinik.
Date of issue: 09.12.2007
Age restrictions: 18+
Song language: French
1 Milliard d'euros |
Là où les pleurs sont gratuits, les rêves se comptent en milliards |
Mets-toi bien, c’est Six’o’nine, on ouvre les portes aux pillards |
Délinquance, racket, agressions, débordements |
Tu sais l’argent ne fait pas l’bonheur mais l’améliore fortement |
Te voilà prévenu les rêves se comptent en milliards |
Mets-toi bien, c’est Six’o’nine, on ouvre les portes aux pillards |
Dans les sous-sols de l’Essonne, dans les halls et dans les squares |
On nous laisse croire que tant qu’il y a du biff y’a de l’espoir |
Si j’avais planqué des milliards, j’aurai un yacht à la Jay-Z |
J’aurai tenté un tour du monde avec mes potes à la té-ci |
C’est sûr, aucun huissier n’aurait percé dans ma serrure |
Si ces bâtards m’avaient coincé, j’aurai l’wifi dans ma cellule |
Moi j’aurai deux-trois gamos, un chauffeur, des domestiques |
Certains éclatent tout dans la schnouf, je n’comprends pas faut qu’on m’explique |
J’enverrai les petits de la tess bronzer à Hammamet |
Toute la famille sur un jet, pour un voyage à La Mecque |
Si j'étais bien, j’ferai plaisir à mes taulards dans le partage |
Évidemment, j’mettrai une tass et des dollars dans le paquetage |
J’dirai aux jeunes «Arrêtez tout, fuck le biz' et les arnaques» |
Dans mon tier-quar le club de foot serait sponsorisé par Nike |
Si j'étais riche, j’aurai construit un terrain de foot pour mes fistons |
Comme Pascal, y’aurait ma gueule en portrait sur les biftons |
Crois-moi, un casino d’bâtard sur les plages de Dakar |
Fini l’quatre-quart, j’ferai sortir sous caution mes potes au placard |
J’tuerai des keufs, j’aurai des guns et des bastos comme Tony |
J’aurai le droit d’aller violer des meufs gratos comme Johnny |
Mon vieux terminerait ses derniers jours sans doute sous le parasol |
Et ma parole, la caverne d’Ali Baba pour la daronne |
Là où les pleurs sont gratuits, les rêves se comptent en milliards |
Mets-toi bien, c’est Six’o’nine, on ouvre les portes aux pillards |
Délinquance, racket, agressions, débordements |
Tu sais l’argent ne fait pas l’bonheur mais l’améliore fortement |
Te voilà prévenu les rêves se comptent en milliards |
Mets-toi bien, c’est Six’o’nine, on ouvre les portes aux pillards |
Dans les sous-sols de l’Essonne, dans les halls et dans les squares |
On nous laisse croire que tant qu’il y a du biff y’a de l’espoir |
J’sais qu’j’ai pas le destin de Lisa, c’est bizarre |
Ma te-tê serait mise à prix mais les zincs du bled auraient l’Visa |
Les soucis dans la grisaille, la déconne et les bécanes |
J’aurai bouffé l’bonheur avec un B comme Beckham |
C’est clair qu’on achète pas l’amour d’une femme ou la santé |
Autant tenter des meilleures conditions d’Fleury à la Santé |
Parce que nos juges se la racontent et prônent toujours la fermeté |
Si j'étais bien, ces fils de chiens m’auraient sans doute offert le thé |
Mon mariage? Un grand cortège, en 4×4, en hélico |
Faut des dicos pour le Tiers-Monde, de nouveaux services médicaux |
Moi à l’Afrique j’aurai offert des hôpitaux, des bombes à eau |
Des sacs de riz, du matériel, j’aurai construit des maternelles |
Un milliard et tous les jours, j’ferai mes courses à domicile |
Ma Quatre Fromages serait livrée de la Sicile |
Eh ouais nik-Si, par ici, y’a de quoi faire avec autant d’sous |
Ouvrir un compte en Suisse, produire la génération d’en-dessous |
Là où les pleurs sont gratuits, les rêves se comptent en milliards |
Mets-toi bien, c’est Six’o’nine, on ouvre les portes aux pillards |
Délinquance, racket, agressions, débordements |
Tu sais l’argent ne fait pas l’bonheur mais l’améliore fortement |
Te voilà prévenu les rêves se comptent en milliards |
Mets-toi bien, c’est Six’o’nine, on ouvre les portes aux pillards |
Dans les sous-sols de l’Essonne, dans les halls et dans les squares |
On nous laisse croire que tant qu’il y a du biff y’a de l’espoir |
Partout dans le globe j’aurai construit des madrassas et des mosquées |
Un barbec' géant pour tous les SDF qui sont postés |
Dans les gares et dans les halls, dans les cages d’escaliers |
Des Restos du Cœur racailleux pour ceux qui s’mettent à cailler |
Ouais mon vieux, j’aurai acheté mon Porsche Cayenne en catalogue |
Tu sais mon vœu, c’est faire venir ma sangria de Catalogne |
Si j'étais pété d’oseille, j’aurai un flingue sous l’oreiller |
Dans la cave, un arsenal qui pourrait tout, sauf s’enrayer |
J’aurai jamais foutu mon fils dans les odeurs de la cantine |
Quoique t’en dise, nos mères seraient sur les hauteurs du Cap d’Antibes |
Et la team baratinerait les keufs et les Kharba |
Finies les garres-ba, j'éviterai les gardav' et le card-pla |
Là où les pleurs sont gratuits, les rêves se comptent en milliards |
Mets-toi bien, c’est Six’o’nine, on ouvre les portes aux pillards |
Délinquance, racket, agressions, débordements |
Tu sais l’argent ne fait pas l’bonheur mais l’améliore fortement |
Te voilà prévenu les rêves se comptent en milliards |
Mets-toi bien, c’est Six’o’nine, on ouvre les portes aux pillards |
Dans les sous-sols de l’Essonne, dans les halls et dans les squares |
On nous laisse croire que tant qu’il y a du biff y’a de l’espoir |
S.I.N.I.K, C.I.F.A.C.K |
609 sur le drapeau, levez les bras, c’est un braquo |
Tu diras qu’je suis un bâtard, juste lyricalement imbattable |