Song information On this page you can find the lyrics of the song Le bruit de ma ville, artist - Nekfeu. Album song Feu, in the genre Иностранный рэп и хип-хоп
Date of issue: 26.11.2015
Record label: Seine Zoo
Song language: French
Le bruit de ma ville |
J’me sens libre quand je t'écris quelques bribes de ma vie |
Rapidement dispersées par le bruit de ma ville |
J’ai appris que tout ce qui brille vaut pas le prix d’un ami |
Force à toi si la son-pri te l’a pris, on est ensemble |
J’me sens libre quand je t'écris quelques bribes de ma vie |
Rapidement dispersés par le bruit de ma ville |
J’ai appris que tout ce qui brille vaut pas le prix d’un ami |
Force à toi si la son-pri te l’a pris |
Mon équipe c’est le moteur, sans elle j’aurais aucun kilométrage |
L’important c’est d’marquer le but pas de savoir qui le mettra |
J’ai pas besoin d’objets clinquants mec, mon bagage est mince |
Et même si y’a pas qu’un chemin, y’en a qu’un quand même |
Dehors les neus-je galèrent alors ça tter-fri des lamelles |
Les politiciens courent toujours mais pour ça les flics te ramènent |
Garde ta conscience pour toi, ça t'évite de la perdre |
La nuit j’prends d’la hauteur comme le satellite de la Terre |
Envie d’casser la démarche quand je téma le retroviseur |
16 balais et j’cassais des barres j’voulais démarrer l’proviseur |
Comment rester calme? Problèmes inextricables |
Mental inexplicable comme une ex qui câble |
Eh la directrice, ferme tes fesses j’veux pas d’tes conseils, ma chiennasse |
Pour un môme agité comme moi faire le con c’est machinal |
J'étais qu’un gosse marginal j’faisais mes courses au marché noir |
Et quand maman s’en rendait compte c'était le cauchemar chez moi |
Entre chiens de la casse et requins, combien de mecs sincères? Aucun |
Fuis quand ça sent l’gaz et retiens l’flow du 75 015 |
J’me sens libre quand je t'écris quelques bribes de ma vie |
Rapidement dispersées par le bruit de ma ville |
J’ai appris que tout ce qui brille vaut pas le prix d’un ami |
Force à toi si la son-pri te l’a pris, on est ensemble |
J’me sens libre quand je t'écris quelques bribes de ma vie |
Rapidement dispersés par le bruit de ma ville |
J’ai appris que tout ce qui brille vaut pas le prix d’un ami |
Force à toi si la son-pri te l’a pris |
Le bruit de ma ville |
Le bruit de ma ville |
Le bruit de ma ville |
Yo, de toute façon on va tous caner, ouais, ouais l’ami |
Et quand on va cramer on dira tous «Ouais c’est l’Diable qui nous l’a mise» |
Vision décalée, le vice s’invite sans rien déclarer |
Tu trouveras des caméramans filmant des camés en camise |
J’essaye de sauter le pas la vie me tire par les genoux |
En vrai j’ai plus tendance à être attiré par mes jnouns |
La femme et les ruses, l’homme et les mots |
Pour vous ils sont beaux mais ils sont tous faux de la nuque à l’anus |
Nique, j’ai quelques vrais le reste qui sont ils? |
Passent le salam le regard froid et puis se killent |
Bref, j’vais là ou la vie m’mène, bref j’pleure avec des fous rires |
J’mène une vie de merde, j’raconte mes emmerdes avec le sourire |
J’refuse l’invitation car électrique est la chaise |
La vie, la mort, j’ai l’cul entre deux Père Lachaise |
Seulement nos actes diront si nous sommes validés |
J’suis mal parti un peu comme Johnny j’m’y fais à l’idée |
J’ai appris qu’la vie fait pas d’cadeau |
J’efface mes traces avant le crash sur l’asphalte |
Nourri de merde mais je suis pas scato |
Noyée sous la paperasse j’vois la daronne devenir paro |
Les frères disparaissent et sans tour de passe-passe |
Mon équipe t'épate, y’a pas qu’les noich' qui vont faire un tabac |
Seine zoo, Saïga on tabasse |
Bien plus hard que Tabatha Cash |
T’es comme cette gov' sur Paname, négro t’as pas ta place |
Bercé par le bruit des sirènes |
La symphonie des balles résonne dans ta ville |
Les tympans percés comme la citerne |
Assistés par nos cités, Vitry c’est trop deuspi |
Confrontant nos idées |
On casse des têtes pour s’montrer qu’on est ouverts d’esprit |
Ouais, imagine ma tête en poster dans la chambre de c’flic |
Ma ville est douce comme ces quelques notes |
Mais cette caisse claire me rappelle à quelle point elle peut être brutale |
Pense à tout c’bonheur qu’elle te donne |
Et qu’elle te reprend avec un bruit d’balle |
Sois prudent les gens n’ont plus d'âme |
Je ne viens pas d’la rue moi tu sais j’y dors pas |
Mais quand une chienne aboie je sais qu’elle ne mord pas |
Je n’ai que des cauchemars et la nuit je dors mal |
Car mon pote est mort là comme si c'était normal |
Mon pote est mort là sans même me dire «Au revoir» |
Il y a des milliers d’autres âmes tuées pour de l’or noir |
Et des milliers d’enfants tenaillés par le manque |
Comment veux tu que les parents parlementent |
Tellement de haine tu comprends pas poto regarde le monde |
Y’aurait peut-être moins d’attentats sans tous ces bombardements |
Des gouvernements veulent la guerre mais pas l’peuple |
Alors j’me demande pourquoi les balles pleuvent |
J’me sens libre quand je t'écris quelques bribes de ma vie |
Rapidement dispersées par le bruit de ma ville |
J’ai appris que tout ce qui brille vaut pas le prix d’un ami |
Force à toi si la son-pri te l’a pris, on est ensemble |
J’me sens libre quand je t'écris quelques bribes de ma vie |
Rapidement dispersés par le bruit de ma ville |
J’ai appris que tout ce qui brille vaut pas le prix d’un ami |
Force à toi si la son-pri te l’a pris |