
Date of issue: 29.09.2013
Record label: Parlophone, Warner Music France
Song language: French
Fait Divers(original) |
9−7, Freeman représente pour son école |
K.Rhyme Le Roi pur MC Arabica |
La fine lame apparaît au coeur de la bataille |
Je tranche dans le vif, reste sur les railles sur le sujet |
Poussés à s’entasser dans les quartiers |
Ecartés, rêves, niquer des fourgons blindés |
Se blinder pour pas se faner, caner |
Tel un tox, flâner, planer, se faire oublier, prêt à enterrer |
Le monde se divise en deux parties, le Bien et le Mal |
Y’a pas cinquante chemins cousin, tu comprends |
Mes rimes s'étalent, râle, je représente les chacals |
Pâle à cause des sticks qu’on extermine |
Comme un tueur à gage nique ces balles |
Combien de mes potes partent sans me dire au revoir |
Combien fonctionnent avec des doses en gramme qui parcourent le sang |
Comme le Mal a parcouru le temps |
De temps en temps la Foi apparaît |
On fait du bien après ça disparaît, la réalité de nos jours est dure à accepter |
Bon paté ou bien se faire chier, il faut choisir, du matin au soir |
Après l’action comme un pouilleux cherchant des francs |
Pour assouvir mes désirs de clando, hjo, facile à planter dans le dos |
Sous l’effet des tah kes gnah cours les kah sah c’est pas facile |
Jouer le mauvais garçon style le devil |
Mais le soir dans le quartier c’est pas pareil |
Les pères dorment, les fils se réveillent |
Les anges dorment, les bliss se réveillent |
Le soir dans le quartier j’entend les démons ricaner |
Contempler l’enfer défoncé c’est pas censé |
Dépenser sans compter sur la sensé, aussi coincé |
Marie-janne m’a dévergondée, hanté par le mauvais sort |
Planté, combien de fois, je compte plus mais y’a toujours la Foi cousin |
Au sein du vice, matrice du Mal, matricule Freeman |
Combattre bliss la cible principale, pâle à cause des joints |
Trop de soucis chez mes frères sur nos terres |
Protège ton fric, la faim persiste, je piste la pisse du vrai journaliste |
Insiste avec un m.i.c., loin de moi la politique, critique en connaissance de |
cause |
Basique dans mes propos, en haut, c’est pas chez moi, quoi? |
On peut pas manger dans la même assiette |
Voie qui je reflète, ceux qui courent devant bas-bec le soir fêter la fuite |
Cuite avec des whisky secs |
Ensuite, la suite vient au feeling, on bégaye, la bouche qui bègue |
Les yeux gonflés, foncer, foncer, pas regarder le passé le futur va s'échapper |
Pion, c’est pas pour moi, je veux pas couler |
Tous les jours je trouve des failles dans ton système pour te saoûler |
Comme tu soûles mes frères, enculé, cité tel un élément perturbateur |
L’orateur se pose, capte des paroles qui sortent du coeur minot |
J’ai fais confiance à l'école, à présent zingué mia |
Je nage dans la merde comme une saule |
Seul la clef de sol me sert de sol |
La seule qui m’ait pas trahie pour mon pactole |
Mon intellect, selecte mes amis, prie pour mes ennemis |
Et dans mon entourage la rage mène |
Les frères ramènent les sirènes et moi c’est pareil, pas différent, |
comme les autres |
Pourtant sent la différence du sens dans mes textes, cessent les messes basses |
Le sous-marin émerge, pression, décompression, j’ouvre le sas |
Ressasse tes souvenir, j’te faisais rire, quoi tu ries plus? |
Eh pougas, à dix ans, dix ans sont passés pour en arriver là où j’en suis |
Je suis fatigué, mon Q.I. je le connais pas mais je vois |
Autour de moi la hala, la foi se perd pour plaire |
Faire l’intéressant devant son clan |
Plein de risques, peut-être s’en aller les deux pieds devant |
Inattendu, comme une garde à vue mes rimes puent la sueur, lueur |
J’oeuvre pour ma famille, vas-y contemple mon oeuvre |
Le manoeuvre a fait ces preuves, jette la tienne |
Comme un homme fidèle jetterait une chienne, une nympho |
Poto, moralement ça va pas, physiquement ça va pas |
Les on a pas solution le mic mon appât, le coeur froid, glacé |
Quand on parle d’ennui je suis rassasié |
J’ai pas d’chance, le secret et le mensonge rongent ma ville |
Les diables deviennent des anges et vice-versa |
Les tables rondes se forment, les jeunes |
Les hommes se comptent verbalement depuis cent ans |
Dans la rue t’as pas le temps, le temps de discutailler |
Deux, trois mots en l’air faut guerroyer |
Pour mener une vie comme on l’entend, ça y est le peuple c’est réveillé, |
le côté clair |
N’est pas en fait, l’imparfait à fait son état pour nous baiser, affaissés |
Il accroît, rouler, péter, l’impatient se fait sentir pour fuir la terre |
maudite néné |
Peinés, enchaînés, conclusions déchaînées, finir dans une cours à tourner |
Dehors, autour d’un café, les arraches se font à la sans pitié |
Terré dans un terrier, la loi de la jungle guide pour bouffer, ne pas crever |
Fonder pour sonder, condés, ma clique défonce comme du shit, mieux que les |
cachets |
Allez, va te cacher, du fond des bas fond on voit pas toujours s’qui y’a autour |
Parfois, les descentes foudroient, pour les rapras c’est pas pour ça |
Qu’on va pas frapper les verrous derrière les autres |
Les autres te rotent à la figure après un Vache Qui Rit pain sec |
L'échec pousse les tox à faire des affaires dans les geôles |
Les chiffes molles ramassent des claques |
Quand on fait un pacte avec le diable, rien n’est fiable |
Reçoit se morceau comme une fable, palpable sont mes feuilles |
L’oeil ouvert, j’aime le vers, je prépare mon cercueil |
La confiance, niente, le respect, y’en a plus |
Comment ne pas y penser, le sang pisse tout autour de nous |
Trop de vautours, soit censé, clamser pour cent francs |
Le bon sens brut pour les truands doit s’imposer |
En effet, plaisanter, j’ai plus le temps |
Amené à combattre, sent la puissance des combattants de Mars |
Tu peux en débattre, alors que les autres se prennent un coup de batte |
Pour des plaques, on blanchit la vie des êtres au noir, l'éternité dans le |
placard |
Faut le vouloir, et mouvoir, mon but précis, saisi par l’envie d’un semblant de |
paradis sur terre |
On me maudit, suivi à présent, vaillant guerrier du Micro d’Argent |
Apporte la bonne parole aux gens fréros |
Chez nous y’a pas de plan, enculé |
Paix à ceux qui nous ont quittés trop tôt |
Mortadan en moto, Gomez, c'était des minos, et j’en oublie |
Pris par la folie, Edouard Toulouse devient leur paradis |
Combien, combien, combien encore, le mauvais sort nous accable |
Eh toi en haut écoute les minables |
Mes pensées voyagent sur les dunes de sable depuis quinze ans |
Savoir ce que je sais à cet âge, c’est flagrant |
Les grands restent grands, les petits restent petits sûr certains plient |
On gagne et puis on survit, eh puis quoi, après |
Qu’est ce qu’on fait pour ces semblables, blâme, je sort mon arme, flamme, larme |
Le dragon du profane, qu’elle soit brûlé ton âme comme celle du shitan |
Fait divers signé Freeman |
9−7, l'École Du Micro d’Argent |
Sous des diamants représente ma famille avant tous |
Les mecs de rue, tu l’sais, Belsunce, la Fac, Panier, Felix, Piète, Laurier |
Tous les quartiers de Mars Fait divers |
(translation) |
9−7, Freeman represents for his school |
K.Rhyme The Pure King MC Arabica |
The Swordsman appears in the thick of battle |
I cut to the quick, stay on the rails on the subject |
Driven to crowd into neighborhoods |
Discarded, dreams, fuck armored vans |
Armor up so you don't fade, caner |
Like a toxin, strolling, hovering, being forgotten, ready to bury |
The world is divided into two parts, Good and Evil |
There are not fifty roads cousin, you understand |
My rhymes spread, rattle, I represent the jackals |
Pale because of the sticks that we exterminate |
Like a hitman fuck these bullets |
How many of my homies leave without saying goodbye |
How many work with gram doses that travel through the blood |
As evil has traveled through time |
From time to time faith appears |
We do good after it's gone, the reality these days is hard to accept |
Good pâté or piss off, you have to choose, from morning to night |
After the action like a lousy looking for francs |
To satisfy my clando desires, hjo, easy to plant in the back |
Under the effect of the tah kes gnah run the kah sah it's not easy |
Play the bad boy devil style |
But at night in the neighborhood it's not the same |
Fathers sleep, sons wake up |
The angels are sleeping, the bliss are waking up |
At night in the neighborhood I hear the demons snickering |
Contemplating hell stoned is not supposed |
Spending lavishly on sane, also stuck |
Marie-janne shameless me, haunted by bad luck |
Planted, how many times, I count more but there is always Faith cousin |
Within Vice, Matrix of Evil, Freeman Number |
Fight bliss the primary target, pale from seals |
Too many worries among my brothers on our lands |
Protect your money, the hunger persists, I track the piss of the real journalist |
Insists with a m.i.c., away from me politics, criticizes knowingly |
cause |
Basic in my words, upstairs, it's not my place, what? |
We can't eat from the same plate |
Way that I reflect, those who run before low-beak in the evening celebrate the escape |
Cooked with dry whiskeys |
Then the sequel comes to the feeling, we stutter, the mouth that stutters |
Puffy eyes, go for it, go for it, don't look at the past the future will slip away |
Pawn, it's not for me, I don't want to sink |
Everyday I find loopholes in your system to get you drunk |
How drunk you bro, motherfucker, quoted as a troublemaker |
The speaker arises, captures words that come out of the heart minot |
I trusted the school, now zinced mia |
I swim in shit like a willow |
Only the treble clef serves as my treble |
The only one who didn't betray me for my jackpot |
My intellect, select my friends, pray for my enemies |
And around me rage leads |
The brothers bring back the mermaids and me it's the same, not different, |
like the others |
Yet feel the difference of meaning in my lyrics, stop the low masses |
The sub emerges, pressure, decompression, I open the airlock |
Revisit your memories, I made you laugh, what are you laughing more? |
Hey pougas, at ten, ten years have passed to get to where I am |
I'm tired, my IQ I don't know but I see |
Around me the hala, the faith is lost to please |
Acting interesting in front of your clan |
Full of risk, maybe walk away with both feet first |
Unexpected, like police custody my rhymes reek of sweat, glow |
I work for my family, go see my work |
The maneuver has made these proofs, throw away yours |
Like a faithful man would throw a female dog, a nympho |
Poto, morally it's not okay, physically it's not okay |
The we have no solution the mic my bait, cold heart, icy |
When we talk about boredom I'm full |
I have no luck, secrecy and lies eat away at my city |
Devils become angels and vice versa |
Round tables are forming, young people |
Men have been counting each other verbally for a hundred years |
In the street you don't have time, time to argue |
Two, three words in the air, we have to fight |
To lead a life as we understand it, that's it the people are awake, |
the light side |
Isn't in fact, the imperfect made its state to fuck us, sagging |
It's growing, rolling, farting, the impatient is felt to run away from the earth |
cursed boob |
Pained, chained, unleashed conclusions, end up in a course to turn |
Outside, over a coffee, the snatches are done with no pity |
Buried in a burrow, the law of the jungle guides to eat, not to die |
Found to probe, condés, my clique high like shit, better than the |
stamps |
Come on, go hide, from the bottom of the bottom we don't always see who's around |
Sometimes the descents are lightning, for the rapras it's not for that |
That we won't hit the locks behind the others |
The others burp in your face after a Vache Qui Rit dry bread |
Failure pushes addicts to do business in jails |
The limp nags pick up slaps |
When you make a pact with the devil, nothing is reliable |
Receive this piece like a fable, palpable are my leaves |
Eyes open, I like verse, I prepare my coffin |
Trust, deny, respect, there's more |
How not to think about it, blood is pissing all around us |
Too many vultures, supposedly, clam for a hundred francs |
Raw common sense for mobsters must prevail |
Indeed, joking, I have more time |
Brought to fight, feel the power of Mars fighters |
You can debate it, while the others get beat up |
For plaques, we launder the lives of black beings, eternity in the |
cupboard |
Must want it, and move, my precise goal, seized by the desire for a semblance of |
heaven on earth |
I am cursed, followed now, valiant warrior of the Silver Micro |
Bring the good word to the bro people |
With us there is no plan, motherfucker |
Peace to those who left us too soon |
Mortadan on a motorcycle, Gomez, it was minos, and I forget some |
Taken by madness, Edouard Toulouse becomes their paradise |
How much, how much, how much more bad luck overwhelms us |
Hey you upstairs listen to the losers |
My thoughts have been traveling the sand dunes for fifteen years |
Knowing what I know at this age is blatant |
The big ones stay big, the little ones stay small sure some bend |
We win and then we survive, then what, then |
What do we do for the like, blame, I draw my gun, flame, tear |
The dragon of the profane, let your soul be burned like that of the shitan |
News item signed Freeman |
9−7, The Silver Microphone School |
Beneath diamonds represents my family above all else |
Street guys, you know, Belsunce, College, Basket, Felix, Piète, Laurier |
All the districts of Mars News item |
Name | Year |
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C'est Donc Ça Nos Vies | 2013 |
Marseille la nuit | 2013 |
Oran Marseille ft. IAM | 2006 |
La Part Du Démon | 2012 |
Dangereux | 2013 |
Petit Frère | 2013 |
Un Bon Son Brut Pour Les Truands | 2013 |
Benkei Et Minamoto | 2012 |
Bouger La Tête | 2013 |
Je Danse Le Mia | 2006 |
Nés Sous La Même Étoile | 2013 |
Bienvenue (Featuring Beyoncé) ft. Beyoncé, Bruno Coulais | 2008 |
Elle Donne Son Corps Avant Son Nom | 2013 |
4.2.1 | 2012 |
La 25ème Image ft. Nuttea | 2006 |
La Saga | 2006 |
L'école Du Micro D'argent | 2013 |
L'empire Du Côté Obscur | 2013 |
Un Cri Court Dans La Nuit ft. Nuttea | 2013 |
Independenza | 2013 |