| Le vacarme des humains, parfois me rend patraque
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| Donc, je continue ce morceau en vrac,
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| En live dans mon hamac
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| Etant plus jeune, j’adorais les bruits de la ville
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| Des gens qui se filent, et des automobiles
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| D (c)sormais, je pr (c)fre le silence
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| Me retrouver avec moi-mЄme en m (c)ditation intense plus beaux
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| Et c’est dans cet (c)tat que me viennent les mots les
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| De rien je fais un tout, sonore dict© dans le micro
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| Je ne suis pas un aigri, oh non
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| De ceux qui aiment les enfants avec trois cuillres de Nopron
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| Ni un Marcel regardant pousser son bide
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| Tout au long de sa vie molle et vide, chrysalide
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| Il est, chrysalide il restera, mais moi je pr (c)fre Єtre un papillon
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| Cr (c)er des «uvres dans mon sillon
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| Ce que j’appelle user de mes cinq sens
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| Ou vivre simplement avec le calme comme essence
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| J’aime entamer un texte aprs une relaxation
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| Vivre simplement avec le calme comme essence
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| J’aime entamer un texte aprs une relaxation
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| Vivre simplement avec le calme comme essence
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| J’aime entamer un texte aprs une relaxation
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| Vivre simplement avec le calme comme essence
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| J’aime entamer un texte aprs une relaxation
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| Ne m’inspirant de rien sauf du silence
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| Le monde de l’absurdit© devient-il un bastion?
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| Na®tre ou ne pas na®tre?
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| Telle est la question
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| Maintenant je suis ici et j’ai le choix de
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| Vivre dans la douceur ou bien survivre dans la douleur
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| C’est un chemin trac© dans la tЄte de chacun
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| Il faut se d (c)cider la crois (c)e de d (c)gun ou de quelqu’un
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| Soit-disant je suis un VIP, moi je voudrais n'Єtre rien
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| Qu’un simple citoyen m (c)diterran (c)en
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| Quelque fois partir en Corse voir des amis
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| Un petit saut Naples afin de saluer la famille
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| La simplicit© rgnerait dans les tranches de vies que j’ai d (c)peinte
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| Comme un paysan d’Agrigente
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| Dans mon orangeraie, j’arrangerai
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| Les fruits de la terre et me vengerai de celui qui les mangerait
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| Je me souviendrai alors de ces jours o№
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| Je charpadais des citrons dans les champs de Cefal№
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| Le pardon est facile quand la m (c)moire est saine car
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| L’homme est un cheval dont la raison est les rennes
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| Efface le lien du bonheur l’abondance
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| Je veux vivre simplement avec le calme comme essence
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| J’apprendrai mes enfants que la Terre est une sphre
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| Je leur enseignerai que la couleur est illusion
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| J’apprendrai mes enfants qu’une guerre est un enfer
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| Je leur enseignerai le respect des traditions
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| Car les anciens sont la m (c)moire, la sagesse, un fils
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| De m (c)tque ne les met pas dans un hospice, non
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| MЄme si l’argent ne coule pas flots
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| Il faut se dire que dans la vie il y a des bas et il y a des hauts
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| J’ai pass© plus de temps en bas
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| Pourtant s’il fallait d (c)crire les moments je ne le saurai pas
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| Joie et tristesse s’interp (c)ntrent
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| A la manire du regard intense de deux Єtres, par une fenЄtre
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| Eloignez-moi de la multitude press (c)e
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| Pr (c)servez-moi de la solitude stress (c)e
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| Loin du m (c)tro et des gaz d'(c)chappement loin
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| Du gris des bўtiments, du train-train et des coups de freins
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| La technologie (c)tait suppos (c)e me servir
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| Et non pas m’endormir pour m’asservir
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| Les valeurs de base ne sont pas si mal quand j’y pense
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| Je veux vivre simplement avec le calme comme essence |