Song information On this page you can read the lyrics of the song 11'30 contre les lois racistes , by - Passi. Release date: 01.10.2015
Song information On this page you can read the lyrics of the song 11'30 contre les lois racistes , by - Passi. 11'30 contre les lois racistes |
| -Lois Deffere, lois Jox, lois Pasqua ou Debre, une seule logique |
| -La chasse à l’immigré. Et n’oublie pas tous les décrets et circulaires |
| Nous ne pardonnerons jamais la barbarie de leurs lois inhumaines |
| -Un état raciste ne peut que créer des lois racistes |
| -Alors assez de l’anti-racisme folklorique et bon enfant dans l’euphorie des |
| jours de fête |
| -Régularisation immédiate de tous les immigrés sans papiers et de leurs familles |
| -Abrogation de toutes les lois racistes régissant le séjour des immigrés en |
| France |
| -Nous revendiquons l'émancipation de tous les exploités de ce pays |
| -Qu'ils soient Français ou immigrés. Et au fait, qu’est-ce que t’en penses toi? |
| Je ne veux pas faire de politique, ma mission est artistique |
| Mais quand je vois tout le trafic, on ne peut pas rester pacifique |
| Les lois qu’ils veulent mettre en application |
| Corroborent mon accusation |
| Trop de mes semblables pètent les plombs |
| Pris dans le tourbillon de l’immigration |
| Tout pays au monde expulse ses immigrés clandestins |
| C’est vrai |
| Mais la France a une autre responsabilité entre les mains |
| Les faits sont historiques |
| Le peuple français a fait couler son sang |
| Pour écrire noir sur blanc |
| Les bases d’une démocratie en Occident |
| Que les dirigeants s’en souviennent, attends, je les illumine |
| Droit d’asile pour les populations victimes de la misère du globe |
| Combattre le racisme, le fascisme, le sexisme |
| Et toutes sortes de xénophobes |
| Sans papiers, donc sans droits |
| Sans droits donc écrasés par les lois |
| La justice nique sa «reumdava» |
| Quand on voit ses desiderata au grand jour |
| Je reste lucide dans mon faubourg |
| Et garde un oeil sur les vautours |
| Plus d’excuses, les gens savent très bien pour qui ils votent |
| 52% de fils de putes à Vitrolles |
| Une fois pour toutes, c’est clair |
| Idem pour ces ministres mielleux, fielleux |
| Votant des lois pour séduire ce type d'électorat |
| Rappelle-toi qui s’est battu pour la France |
| Couteau entre les dents, rampant, et rien dans la panse |
| Tu collaborais à l'époque, chien, un toutou docile |
| Heureux de voir les Arabes débouler pour libérer ta ville. |
| De Joxe à Debré, je traque les fafs en costard |
| La gauche caviar, la droite de la droite au pouvoir |
| Moyen Resistenza, effet Independenza |
| Tous égaux devant les lois, dixit Sentenza |
| Je suis comme un pionnier, je porte très haut le flambeau |
| J’en place une pour les frères au préau |
| Mes rêves d’autrefois disent au revoir |
| Trop longtemps écrasé, étouffé, assoiffé, je rêve de REVO |
| Je dévore |
| Je tacle l’obstacle, enflamme les consciences qui s'évaporent |
| Les porcs s’installent, s'étalent et tèjent le peuple |
| Sur une étroite bordure |
| Tout le monde sait que leur coeur est creux et plein d’ordures |
| Ne voyez vous pas jusqu’aux pas de vos portes, je baise vos élites |
| Je me sens plus fort, je prends des grades |
| J’empoisonne avec le White Spirit la machine étatique |
| Le rouleau compresseur qui est sans passions |
| Contre vos passions |
| Je prends position, au micro je mets des coups de pressions |
| Les bâtards veulent me pousser dans l’impasse |
| Que mon ombre perde ma trace |
| Je reste dans la masse, l’arme efficace |
| Et je crame le système comme une charasse |
| Ne pète pas plus haut que ton cul |
| Si t’es membre des moins costauds |
| Mais dis-moi Mani tu déblatères, t'écrases tes frères |
| Comme des blattes à terre pour un drapeau |
| Devant la lumière, sombre sabre reste sobre |
| Pour l’octobre, dans les décombres |
| Réfléchis, jamais ne fléchis, dans l’ombre dénombre tes soldats |
| Qui ne tendent pas l’arme sur leurs tempes, n’est pas, y a pas |
| J’casse trop, je reste fidèle à moi même |
| Trop de gens parlent, l’argent parle, les agents parlent |
| Procréent trop d’infidèles s’opposant, m’imposant |
| Pour Karl je reste fidèle |
| Même au bout d’une corde, miséricorde, j’casse trop |
| Moi, je fracasse est-ce une histoire de paperasse |
| Ou de couleur de peau, l’odeur de soufre de Méphisto |
| Les gens souffrent à cause des lois racistos |
| GALÉRIANOS signale les bastos |
| Les fréros poussés dans la Seine, trop de peine |
| Mi-d'or devant Vincennes je prends position |
| Car là où passent les bâtards c’est la désolation qu ils sèment |
| Quoique tu fasses, le melting pot français est ainsi fait |
| Renoi, Céfran, Rabza, Spanish, Toss |
| Portuguesh, Kung Fu, Macaroni |
| Dans une cité ou pas. L’Etat nous dit zeubi, drôle de démocratie |
| Ménélik, Soldafada sur la dalle, encaissent gauche, droite |
| La tension extrême, l’issue bouchée, la porte trop étroite, direct |
| Ils veulent nous manipuler comme des poupées |
| Nous couper l’herbe sous le pied |
| De façon à ce que les gens ne puissent plus respirer |
| Nous sommes comme des parasites, surtout pas raciste, moi |
| Donc, tes textes, tes lois, réécris-les c’est pas les bons j’crois |
| Nakk sent que ca sent le roussi pour ceux qu’ont un accent |
| Lois Debré ou de force et les droits de l’homme sont absents |
| — C'est ça la France — |
| Ici c’est dur d’entrer comme une forteresse |
| Dire qu’un cousin m’a dit, Nakk, la France c’est fort je reste |
| La marque de la bête, ici, en l’occurrence c’est l'étranger |
| Danger, danger, pour ceux qui par ce fait sont blasés, blasés |
| Celui que le facho appelle bicot prend le micro |
| Pour démentir les faux propos, stopper le complot |
| Je jette un œil sur le passé, vous pensiez l’effacer |
| Hélas l’histoire se répète, revient nous offenser, c’en est assez ! |
| Ils jettent encore le discrédit sur mon ethnie |
| Sur tout ce qui est physiquement différent |
| Mais l’harbi (arabe) monte au créneau, j’ai le droit de veto |
| Je serai le bourreau, je ferai front quoi qu’il advienne |
| Je ne mâcherai pas mes mots |
| La réapparition des vieux démons d’un passé pesant |
| Conforte l’idée que j’ai sur ce racisme latent, d’antan |
| Datant du temps des premières crises dans |
| Un pays qui dans un total désarroi prétend |
| Encore une fois que nous sommes la cause de ce marasme |
| Que c’est notre faute si la France est prise de crises d’asthme |
| Mais qu’ils sachent que je serai toujours sur la brèche, bref |
| Je combats le facho et tous ceux qui sont de mèche |
| Vigipirate, carte de résident en danger, délation |
| France aux Français. Guerre avec un grand G |
| Qu’est-ce que tu veux que je fasse face à ces panneaux |
| Qui sont tellement sales qu’ils me font penser à Brigitte Bardot |
| Qu’est-ce qu’il y a? T’es choqué quand je dis ça? |
| Ne bouge pas, j’ai pas fini, tu veux mon nom, c’est Befa |
| L’impertinent, celui qui écrit une lettre au Président |
| Que Skyrock, Fun et NRJ censurent impunément évidemment. |
| Personne se sent concerné surtout que dans le pire des cas |
| C’est mes enfants qui seront enfermés |
| Donc fermez-la une fois pour toutes, mon téléphone est sur |
| Écoute, pas de doute, je bosse pas pour les scouts de France |
| Je balance une idée révolutionnaire. Debré hors-la-loi |
| Si tu l’attrapes, mets-lui un coup pour moi |
| Un coup pour nous, un coup pour tout ce qu’ils nous ont fait |
| Un coup pour dire qu’un jour ils finiront par payer leurs méfaits |
| En effet, je l’ai fait, si tu veux me faire un procès |
| T’as droit qu'à un seul essai |
| Donc, essaie de laisser la vérité passer au sujet des Français |
| De ce qu’ils ont fait dans le passé à nos pères et à nos mères |
| C’est que quand je pense à ce que ta France a pris |
| À l’Afrique noire et à l’Algérie |
| De quoi tu nous paries aujourd’hui. 9−7 |
| De quelle dette? De quels droits? De quels papiers? |
| De quelles lois? De quels immigrés? |
| J’en' palé la dwoit |
| NOB con tout neg poté dread tchok les abus |
| Check le mike pok ! |
| Bim an tet zot si zot kwé cé jé mè cé ki ca |
| Zafe l’eta ta la ki pa a fé piès bagaye |
| Ban piès moun toujou minm l’an ka pwofité |
| Ni sa ki, ni sa ki pa ni |
| Moin sé An neg man pa ni |
| Les fruits défendus j’aimerais tellement, tellement |
| Oh oui, tellement y goûter |
| Goûter ce luxe qui orne la vie paisible de ces enculés |
| Mais vers quel avenir allons-nous? |
| Vers quelle société allons-nous? |
| A cette vitesse, autant se téj |
| Si le mot d’ordre est à la haine |
| Autant tout fracasser dès maintenant |
| Ces fachos m’ont fâchée, ce système d’enfoirés |
| Une fois de plus a semé la haine |
| Le racisme pourrit l’esprit faible |
| Qui ça gène? Surtout pas l’Etat, surtout pas Le Pen qui a démène |
| Ces fils de … veulent la guerre pour mieux frapper l'étranger |
| Restons fiers, restons fiers |
| Domou djoloff moye délloussie di Iene |
| Iatteli djeuf dji fi amone |
| N’dakheté sa ma khoie mo fessati |
| Mie kaddou you bonne yi maye |
| Dague téye thie sa ma khette |
| Thia fa gnouye wovve deuckou nassarane |
| Togone naye fi diamono 1 945 |
| Tirailleurs sénégalais, amone nagne |
| Fi n’Dame téye seni dame ack séni seute |
| Gnou l¿ne di torokhale di lene wowe immigrés fatté nagne |
| Dembeu ndéye sane fatté nagnou sou gnouye ahlale |
| Sou gnouye niack dérrétte guigne léne |
| Toureuione n’Dame guigne léne andilone |
| Thie diamonoye thiossane |
| Je porte le grade de colonel pour qu’ils m’identifient |
| À quand un matricule pour satisfaire toutes leurs envies |
| C’est comme un safari qu’on prépare sciemment consciemment |
| Une corde raide qu’on tend pour une pendaison d’antan |
| Pour le même coupable, celui qui a pas la couleur locale |
| Ils voient une loi, une deuxième loi |
| Puis on s’en mordra tous les doigts |
| Je veux pas que mes enfants grandissent comme moi dans le néant |
| Si on les laisse faire, ils nous préparent une troisième guerre |
| Je veux plus être l’antilope |
| Le lion qu’on chasse du bout de son canon |
| Droite, gauche, même son de clairon qui sonne faux |
| Si jamais ça péte, je deviendrai leur casse-tête |
| Camouflage tout-terrain, arme au poing |
| Comme dans une guerre de tranchées, déclenchée, orchestrée |
| Par l’hypocrite politique, cas typique d’une mise au point |
| Pour monter l’immigré contre son frère immigré |
| Coulé, noyé dans une vieille stratégie nase, grillée |
| Par les jeunes de ma génération qui gardent 1 il ouvert |
| Conscients de l’attitude de la France pendant la deuxième guerre |
| Nationale, radicale, f’aut que la réaction soit fatale, brutale |
| Pour pas qu’on ait à se plaindre, geindre sans voix |
| Face aux sales lois qu’on a laissé passer sans s’opposer |
| Rebellion organisée pour le 3 Majeur flow |
| SLEO encore une fois porte le drapeau |
| FRANÇAIS. TU DORS ! |
| C’est la fin, tes politiciens vont trop vite |
| Dès lors que des artistes s’unissent contre la fourberie et le vice |
| La piste suivie n’est plus strictement artistique, mais aussi politique |
| Soit les lois passent, quoi? |
| Elles sont dissimulées comme de justes |
| 10 ans après on s'étonne que les immigrés dégustent |
| Soit elles sont appliquées avant d'être votées |
| Et on s'étonne ensuite que certains |
| Ne voient plus l’atteinte à leur liberté |
| Ah ça ira, ça ira, ça ira, ça fait deux cents ans qu’on attend ca |
| Je doute, je pense, donc je suis |
| Force est de constater à travers nos yeux de banlieusards éclairés |
| Que les avions charters tendent à remplacer les bateaux négriers |
| C’est un dilemme individuel |
| Ne pas se laisser abuser par le superficiel |
| J’ai vu, de mes yeux vu |
| Retourner au pays mon ami, lui qui n’en voulait plus |
| Méticuleusement, mais sûrement, les forces devraient s’unir |
| Pour aller de l’avant en sachant |
| Que ce qui n’est pas sous les feux |
| De leur actualité peut être révoltant |
| LES CRIMES D’OCTOBRE 61 sont un exemple hurlant |
| Emigration moins papiers plus prison égal double peine perdue |
| Français, tu dors ! |
| Pas un centime de sentiment |
| N’estime pas celui qui dit lutter pour la ce-Fran |
| Pas de logique, l’idéologie part en couilles |
| Mais pour analyser, personne ne se mouille |
| Tout le monde tripe sur son bulletin de vote |
| Trois mois après, allez hop, coup de botte |
| Tu t’es fait bé-bar, mais tu l’as bien cherché |
| Et par ta faute le blâme s’installe dans face des immigrés |
| Cesse de participer au massacre de la conscience |
| Las partis politiques bidons randent amère la douce France |
| Pense à tes enfants, l’avenir est déjà flou |
| Azé s’est posé, maintenant c’est à toi de gé-bou |
| Prends mes empreintes digitales, fiche-moi |
| Quand je vais et viens, je m’en fiche, moi, des fichiers |
| J’en ai déjà plein, c’est pas d’hier que je subis des humiliations |
| Les gouvernements changent mais il n’y a pas d’amélioration |
| Je rêve plus, mes ambitions sont interdites, mon futur s’effrite |
| Mes droits me quittent, vite fait |
| J’ai compris que 1'éthique et l'équité |
| N'étaient pas les mêmes selon ta provenance et ta ta-té |
| Ton compte en banque, ta culture, ton langage, ta religion |
| Tout ce qui nous divise est bon pour cette nation |
| Donc vois, voilà ce qu’il ne faut pas faire: |
| On se nique entre nous, l’Etat, lui, fait ses affaires |
| Il n’aime pas notre unité, il n’aime pas nos différences |
| Soyons tous différents et unis |
| Les conséquences se verront, ça paiera ou sinon ça pétera |
| De toute façon, réaction ! |
| On ne peut plus baisser les bras comme ça, gars |
| Ouais, maintenant. v’là le Freeman… |
| Assez sait, qui ne sait, si se taire sait |
| Toute extrémité est vice, frère |
| La lumière poursuit l’aveugle, destin amer |
| Je cherche la Bien mais je m’attends au Mal |
| Je flaire Lucifer sur terre |
| Ce que réserve le fou pour la fin |
| Le sage le passe en tête |
| Entêté |
| La vérité n’est pas montrée nue, mais en chemise |
| Plus on sait, moins on affirme |
| Pour te servir, Freeman avec sa firme |
| VOS MERES, VOS MERES, VOS MERES VOS MÈRES… |
| Je commence quand la France défonce des églises à coups de hache |
| — LEURS MERES — |
| Comment tu veux que je respecte tes lois, ton drapeau, ton Etat |
| Alors que tu ne respecte même pas Dieu ! |
| Au sein du pays du pain, du vin, du Boursin, j’suis pas blond |
| Je nique la hala et j’ai pas les yeux bleus, non ! |
| Mais comme eux je bouffe des pâtes, et j'éclate même leurs rates |
| Exact ! |
| Certains diront je m’en fous de vos trucs, de vos lois |
| Contre-lois, manifestations. Bande de bidons ! |
| C’est pas un morceau de rappeurs qui fera peur |
| Mais on peut quand même engrener, engrener, engrener |
| Allons enfants dans cette saloperie ! |
| Bougez vos fions, question ! Ca parle de révolution |
| Prendras-tu des munitions? |
| Beaucoup jouent les hardis, pardi |
| Et ne veulent pas mourir ! |
| Alors, vas-y toi, dis moi comment tu veux le paradis… |
| Name | Year |
|---|---|
| Partis de rien ft. Fabe, Koma, Mokless | 2011 |
| Ma té-ci va ké-kra | 2017 |
| Le monde est à moi ft. Akhenaton | 1997 |
| Face A La Mer ft. Calogero | 2004 |
| Le Voile Du Silence ft. K-RHYME LE ROI | 1999 |
| Le monde est à moi ft. Akhenaton | 1997 |
| Je suis Marseille ft. JUL, L'Algérino, Alonzo | 2020 |
| Le bonheur ft. Fabe, Koma, Mokless | 2011 |
| L'palais De Justice ft. K-RHYME LE ROI | 1999 |
| N (Haine) ft. Nuttea | 2000 |
| Le temps passe ft. Johnny Hallyday, Stomy Bugsy, Passi | 2011 |
| L'NMIACCd'HTCK72KPDP ft. Menelik, Les Sages Poètes De La Rue | 1994 |
| C'est Notre Hip-Hop ft. Shurik'n, K-RHYME LE ROI, Akhenaton | 1999 |
| Les flammes du mal | 1996 |
| La Sphère De L'influence ft. K-RHYME LE ROI | 1999 |
| L'enfer ft. EAST, Fabe | 2013 |
| C'est Notre Hip-Hop ft. Akhenaton, Sako, Freeman | 1999 |
| Bad Boys De Marseille (Part 2) ft. Shurik'n, Akhenaton | 2005 |
| Je zappe et je mate | 1997 |
| A Vouloir Toucher Dieu . | 2005 |
Lyrics of the artist's songs: Passi
Lyrics of the artist's songs: Arco
Lyrics of the artist's songs: Freeman
Lyrics of the artist's songs: Menelik
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