Zozoxeazxeakozopa-za-te-ze, sur le beazeateze
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Tuzu voiza ce que je veze dizireze?
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C’est du bon zon çaza, negiz'
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Po-zo-è-zètes seize mesures
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(Sages Po' !)
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Je voudrais juste écrire un seize mesures
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En fonction de c’que dit la musique
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Alors je ferme les yeux, et là je me rapproche des étoiles
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J’ai pas mal de technique mais, frère, pas besoin que j’les étale
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J’les mé-cal, juste parce que ma voix sonne comme un fusil
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Je m'épanouis dès qu’arrive la nuit, je suis un hibou
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Oui, BouBou c’est où j’vis
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Mamie, je pense à vous au moins une fois par jour
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Car vous étiez plus radieuse que les rayons du soleil
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Qui traversent mes volets, histoire de voler mon sommeil
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Et quand j’regarde derrière je me dis qu’c’est une joie c’parcours
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Malgré les peines, les désillusions, les traîtres qui font des fusions
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Pas d’fausses illusions, comme le bon vin, nous nous bonifions
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Magique, adios amigos demain nous visons
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Pas de panique, de Mars on part en croisade direction Pluton
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Puteaux 92, halte à Puteau
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Je représente les gens droits, ceux qui XXX
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Juste rap, street, club, lover
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Évoque le Range Rover, évoque le rap: game over
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Époque révolue, pas d’artifices
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Derrière ces boules, le non-flow attifé en partie fines
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Ici, beaucoup sont au RSA
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Dis salam au téléphone et bim ! |
Allô, la NSA
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Oh ! |
Cherche nos fût d’armes sur Mozilla
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On a dû marcher sur ta ville: Godzilla
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C’est pas du rap si pour une barre y a quatre syllabes
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Ils t’ont crucifié. |
J’m’en tape: Ponce Pilate
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Construit la muraille de Chine en dur verbe
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Pendant que les je-veux-être gesticulent en pure perte
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L’encre déverse des 16, la liberté décède
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Juste que nos vers déchaînent
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Y a que l’air qui passe dans nos deux narines
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Je kiffe quand nos gosses chient dans un jean bleu-marine
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16 traits, 16 lignes, mais il n’s’agit pas de coco
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Reste vrai, reste digne, poto tu connais le topo
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Toujours frais, toujours clean, même quand il n’y a pas de photo
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Je suis dangereux (dangereux), dans un micro
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Pas d’téléphone, un bon vieux cahier pour gratter cette prose
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C’est dans les vieilles marmites que cuisent les meilleurs sauces
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Pop Dan, le miraculeux au sang juste
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J’kick plein d’style, comme un jeune Prusse ou toute la Juventus
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Profitez bien de c’qui sort d’mon crayon
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Car sans mentir, les comme oim'
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Jordan, gagnent pas un sur un million
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Rare, comme des larmes coulant sur les joues d’un jihab
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Triste ironique, comme un foyer sans chauffage
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Mes traits restent bruts, tellement honnêtes
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J’n’essaie pas d'être plus fort que les autres
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Seulement le plus fort possible, battre tous les records
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Comme Carl Lewis, en 86
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Avoir une carrière longue, comme la chevelure d’une comète
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Loin de toute colère aveugle et d’amertume grise
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J’transpire en studio, fais mon truc en une ou mille prises
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Puis t’tombe dessus comme une ou mille briques
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Pourtant j’suis tout léger, j’te l’avais dit, souvent mon style est ironique
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Seize!
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J’en ai tellement plié, qu’un jour j’ai cessé de compter
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Des énervés, des swingués, des cool
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J’ai secoué des foules et semé le doute
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Aujourd’hui encore parfois je me défoule
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T’entends là le 16 qui déroule? |
J’vais lui filer des coups
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Ô 16, mon 16, dis-moi qui est le meilleur
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J’m’entraîne dur, j’connais pas l’usure, juste un dur labeur
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J’suis qu’un rêveur et j’veux dompter les dragons, comme Zizou le ballon
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Faire pleurer les frères et sourire les darons
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Un 16 je le pose pas comme si j’venais de le trouver
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Chaque rime est lourde et acérée, comme si je voulais le trouer
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Et je l'écris au sabre, au pinceau ou la hache
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Seul l’esprit ouvert peut percevoir tout l’amour que j’y cache
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Pas de flashs ni de cash
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Que du flow et du fresh
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Assis à l’ombre de ma feuille, je décroche mes flèches
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De fleur ou de métal, ça c’est l’humeur qui décide
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Une chose est sûre, elle jailliront du coeur, pas du vide
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Dimanche le foot
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Je me réveille avec une inspi', en me réécoutant une instru de xea-Zo
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J’pensais à tous nos supporters en me disant «oui, il faut
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Revenir dans la course comme l’Ethiopie»
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Pas de pitié, si t’es pas un bosseur
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On ne te fera pas de cadeau, c’est certain
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J’suis debout sur ma terrasse
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10h20 du matin
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J’regarde le ciel gris, triste couleur
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Et bientôt tu nous verras plus
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Habitue-toi aux voix des Sages Poètes de la Rue
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On vient fédérer la nation
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Avec le silly slogan, c’est du bon
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Si l’enfer est sur Terre, j’veux gagner ma place au paradis
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J’ai déjà les dents du bonheur comme Vanessa
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Collection mafieuse, comme à little XXX
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Tu veux tester ma culture mais elle ne vaut pas un radis
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Tous les jours mon stylo bave
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Plein de rimes appelées «graves»
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Je représente
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Beat de Boul, pour la mélodie
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Alors je ferme les yeux et…
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L’encre déverse des 16
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Hip-hop, hip-hop
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Dangereux
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L'écart est grand entre ce qui s’entend et ce qui est dit
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Dans un micro |