| Je crois que j’aurais préféré
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| Croiser cent mille chats noirs
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| Lorsque je l’ai rencontrée
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| Qui sortait d’un abreuvoir
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| Je cigalais sans me soucier
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| De la saison hivernale
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| Quand «Paf ! |
| «me voilà nez à nez
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| Comme ça avec l’animal
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| Elle est là, en face de moi
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| Je suis là, en face d’elle
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| Elle, elle n’a pas peur de moi
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| Et moi, je n’ai pas peur d’elle
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| Et nous dansons le tango
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| Bien serrés l’un contre l’autre
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| Je lui gratouille le dos
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| Elle me chatouille les côtes
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| Je suis le cavalier de la vache enragée
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| Le blah-blah est entamé
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| La bestiole prend les devants
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| «Y paraît que vous chantez
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| Eh bien ! |
| dansez maintenant ! |
| «Elle me fait des croche-pieds
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| Moi, je lui fais des croche-pattes
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| Son coup d’boule n’est pas loin d’mon nez
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| Je lui épluche une patate
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| Elle est là, en face de moi
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| Je suis là, en face d’elle
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| Elle, elle n’a pas peur de moi
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| Et moi, je n’ai pas peur d’elle
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| Et nous dansons le tango
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| Bien serrés l’un contre l’autre
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| Je lui gratouille le dos
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| Elle me chatouille les côtes
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| Je suis le cavalier de la vache enragée
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| Ça, c’est sûr que les copains
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| Vont jamais vouloir me croire
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| Vont dire que c’est du baratin
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| Que j’ai inventé c’t’histoire
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| Ou alors que j’vais pas bien
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| Que, ça y est, je perds la tête
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| Bon sang ! |
| vous êtes tous témoins
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| Vous la voyez bien la bête
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| Elle est là, en face de moi
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| Je suis là, en face d’elle
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| Elle, elle n’a pas peur de moi
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| Et moi, je n’ai pas peur d’elle
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| Et nous dansons le tango
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| Bien serrés l’un contre l’autre
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| Je lui gratouille le dos
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| Elle me chatouille les côtes
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| Je suis le cavalier de la vache enragée
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| Qui finira dans mon assiette
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| Je le jure sur sa tête |