Oh oui, tu sais leur dire «je t’aime» et l’oublier la même semaine
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Oh, c’est le week-end, tu joues le fier, han, tu joues la scène
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Tu sais le faire
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Mais tous ces «nan, nan» que t’attends pas, nan, tu les entends pas
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T’essayes encore cent fois, tu penses que ça passera
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Mais nan, nan, nan, t’entends pas, tu la joues gars sympa
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Tu lui demandes «pourquoi ?», t’essayes encore une fois
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Cherche pas à leur plaire, tu perds ton temps
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Demande pas d’amour, tu fais semblant
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Toujours un peu lourd, un peu tremblant
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Au jeu de l’amour, tu pars perdant
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Toucher, toucher (toucher), toucher couler (couler)
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Toucher couler, t’essayes juste encore une fois
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Toucher, toucher (toucher), toucher couler (couler)
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Toucher couler, t’essayes juste une dernière fois
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Toucher, toucher (toucher), toucher couler (couler)
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Toucher couler, t’essayes juste encore une fois
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Toucher, toucher (toucher), toucher couler (couler)
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Toucher couler, t’essayes juste une dernière fois
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Coller, coller serrer durant tous les week-ends (yah)
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Tu les séduis toutes, t’es jamais face au dilemme (yeah)
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Toucher, toucher, des larmes t’en as trop fait couler (yah)
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Ton cœur et son glamour ne t’a jamais côté, oh
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Tu as jamais tremblé face (face), aux histoires dérisoires (yah)
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Tu as même joué tes cartes (cartes), sur des mots illusoires (yah)
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Tu as fait semblant d’aimer, tu crains, ton cœur noir, on ne peut l’atteindre,
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tu sais, la lumière est éteinte
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Elles voudraient te plaire, elle perdent leur temps, demandent ton amour
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inexistant
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T’es ce cœur de pierre au faux semblant, les nuits se répètent et se ressemblent
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Toucher, toucher (toucher), toucher couler (couler)
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Toucher couler, t’essayes juste encore une fois
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Toucher, toucher (toucher), toucher couler (couler)
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Toucher couler, t’essayes juste une dernière fois
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Tes yeux sur les fessiers, tes approches sont pétées
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T’ignores tout des femmes et tes façons d’faire sont douteuses, hum
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Tu fais l’garçon facile, à voir, tu fais pitié
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T’enchaînes les conquêtes mais tous les matins, t’es tout seul, hum
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Tes yeux sur les fessiers, tes approches sont pétées
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T’ignores tout des femmes et tes façons d’faire sont douteuses, hum
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Tu fais l’garçon facile, à voir, tu fais pitié
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T’enchaînes les conquêtes mais tous les matins, t’es tout seul, hum
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Toucher, toucher (toucher), toucher couler (couler)
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Toucher couler, t’essayes juste encore une fois
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Toucher, toucher (toucher), toucher couler (couler)
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Toucher couler, t’essayes juste une dernière fois
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Toucher, toucher (toucher), toucher couler (couler)
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Toucher couler, t’essayes juste encore une fois
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Toucher, toucher (toucher), toucher couler (couler)
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Toucher couler, t’essayes juste une dernière fois |