Song information On this page you can read the lyrics of the song Testament , by - Rohff. Song from the album Le Code De L'horreur, in the genre Иностранный рэп и хип-хопRelease date: 11.12.2008
Record label: Delabel Hostile
Song language: French
Song information On this page you can read the lyrics of the song Testament , by - Rohff. Song from the album Le Code De L'horreur, in the genre Иностранный рэп и хип-хопTestament(original) |
| J’pense à la mort constamment, c’est l’dernier testament |
| Rédigé consciemment, fais comme si j'étais mort récemment |
| J’rappe pas hardcore pour fasciner les bourgeois, comme les autres rabats-joie |
| Évite de m’faire remarquer devant les gens, calme ta joie |
| Trop sincère pour la jouer star pourtant le plus brillant de la constellation |
| Vous l’savez tous: gardez vos prix, vos Révélations |
| Pas besoin de vos fellations pour maintenir l'érection |
| J’me sens toujours seul dans ma direction |
| Ma voix te surine, mon son dévalorise leur frime |
| Exprime, crime, trime, centime, je porte mes couilles en guise de bling-bling |
| C’est la fin du monde, prends mon style comme un signe |
| Plus tu me détestes, plus je progresse et ce jusqu'à ce qu’on m’assassine |
| Bouge la tête comme un co-co-co-co-coq, picore mes rimes |
| Tu peux me chanter la main sur le coeur comme un hymne |
| Ma parole est plus fiable que l’amitié, plus claire qu’une vérité |
| Mes regrets sont biens dans leur peau irritée |
| Rescapé de l’immaturité, richesse de la précarité |
| En toute humilité, j’ai plus de quatre vérités |
| Je suis bon qu'à militer contre le système |
| Faire outrage aux autorités, m’faire embarquer, menotter sous les sirènes |
| Je suis ce microbe excédé de problèmes |
| Qui casse sa dernière bouteille d’Heineken pour tagger sur son bras toute sa |
| haine |
| Étalé au milieu de l’avenue avant que les «Pin-pon» n’interviennent |
| J’ai marché aussi loin que j’ai pu, j’suis devenu ce que j’ai pu |
| On est maître de son corps comme on est maître de son véhicule |
| On n’est pas maître de sa mort mais on est maître de son vécu |
| Je suis né sans garantie, et quand on souffre au ralenti |
| Vient l’idée de violer ces envies |
| Qui te conditionnent à dégainer face à toi-même, insulter la juge |
| Et ta daronne n’est pas au bout de ces peines que tu purges |
| Le meilleur des refuges est dans le din, ça te donne une bonne mine |
| Les ablutions te purifient les mains tachées d’hémoglobine |
| Fier d'être muslim, que Dieu me guide si j’en suis pas digne |
| Avec ou sans la tâche au front on est des gens bien, au fond on est hnine |
| Même la sagesse ne rend pas parfait, ressens la bonne intention |
| Bien que j’avoue être mal placé pour donner des leçons |
| Étrange paradoxe entre les actes et les mots |
| Car c’est toujours la guerre entre mes anges, mes démons |
| Les tentations me tournent autour, m’affaiblissent et me détournent |
| Trop d’boules et de thunes dans la nature, t’as la tête qui tourne |
| Satan ricane quand tu te lèves pas pour faire soubh |
| T’entends pas l’adhan mais l’appel des sous même quand t’es sourd |
| Pour ceux qui boient la tasse dans la hrra, blam blam |
| J’envoie des signaux pour les naufragés dans la haram |
| Parce que le ghetto veut faire briller la zermi |
| Visage grillé qu’on essaye de faire passer comme un faux permis |
| À la prière on s’y est remis, à défaut d’tarder de la faire |
| Harami fier, tape des roues arrières dans les couloirs de l’enfer |
| V’là l’ardoise de pêchés, on espère être repêchés |
| On prend notre temps au lieu de se dépêcher |
| On cherche un plan, thune ou ne-chié |
| Certains ont l’air de se faire chier quand un frère est en train de prêcher |
| Rien que ça jure hakdin Islam, bourré ou perché |
| «Génération Sacrifiée» a déviergé ton rap conscient, engagé |
| J’en ai perdu mon sang pendant que les autres se cachaient |
| Métissé par le mal et le bien, je renie pas ma couleur |
| J’en ai le poil hérissé d’en avoir vu de toutes les douleurs |
| «Regretté» t’a mis en pleurs, donné la force et même poussé |
| À fouetter tes efforts comme un cheval pour avancer |
| Ma vie une métaphore, ne mords pas la main qui t’a nourri |
| Ne me juge pas et prends le bon côté d’un fruit pourri |
| J’ai misé le peu de bien que j’avais en moi |
| J’en ai cédé un bout à celles qui ont un gosse de moi |
| Les épreuves peuvent faire de toi un homme meilleur |
| Faire de toi le meilleur, pour faire voir en toi un monde meilleur |
| J’ai flirté avec la peur sous la menace d’une arme |
| J’ai nargué la mort écartant les bras, perdant mon calme |
| J’ai fait des fautes que le Sheïtan a sifflé |
| J’ai forniqué, j’ai fumé, j’ai bu, mais jamais sniffé |
| J’ai braqué, j’ai frappé, j’ai baffé même tirer pour briefer |
| Mais jamais baisé un pote, pourtant mon dos est bien griffé |
| J’suis le bonhomme qu’on a jamais vraiment aimé |
| J’ai présenté l’avenir à mon prochain, en retour il m’a blâmé |
| Je suis venu en paix, illégalement armé |
| J’ai appris le maniement sans l’armée, l’instinct de survie le permet |
| Sois t’agis sois tu crèves, que Dieu me préserve |
| La morgue te conserve et au chtar faudra faire évader tes rêves |
| Mon rythme de vie, pimenté de jalousie, d’hypocrisie |
| M’ont entraîné dans le courant de la frénésie |
| Et diminué par conséquence ma clairvoyance |
| Car on tire profit de ton talent et ta vaillance |
| Il a fallu que la lumière s'éteigne pour que je prenne conscience |
| Et apprenne à reconnaître les amis d’circonstance |
| Angoissant, stressant, de se réveiller la bouche en sang |
| Vu qu’on s’endort dans les bras de la fureur en se mordant les dents |
| L’estomac noué, on pète dans les draps, rêvant d'être libérable |
| Bercé par les cris des rats à qui je dédie ce rap |
| Car ils n’ont pas craché sur le reste de la gamelle que j’empoisonnais à l’eau |
| de javel |
| J’les voyais crever dans ce monde cruel |
| C’est la vision qu’on a de l’intérieur d’un trou de balle |
| 40 degrés à l’ombre, j’ai pas rasé les murs des promenades |
| Check, check, le code de l’horreur, jugé par le code pénal |
| Pour moi c’est banal, j’veux dire c’est pas l’affaire Bonnal |
| Passage à tabac médiatique, rien de dramatique |
| La solitude c’est ma pote, ma pute, elle me charme en public |
| Une petite larme émotive pour la daronne appelée à la barre |
| Comment plaider contre l’un de ses fils quand l’aîné risque le placard |
| La proc' une arbiya rachetée par l’Etat |
| Maître Haïk n’y peut rien et je suis pas le frère de Rachida |
| Ma vie mise à poil, les journalistes ont la barre |
| Pinocchio mythonne, il veut ma place et ma part |
| Prends pas ton grand frère pour rival, mais pour exemple |
| Sache que si on te regarde un peu, c’est parce que tu me ressembles |
| Pourquoi tu cours, en criant «Police, au secours !» |
| J’allais pas te tirer dessus mais peut-être te crosser par amour |
| Je rigole, on choisit pas sa famille |
| Je pardonne, parce que notre chère mère est encore en vie |
| À chaque mal un bien, on en sort grandi, quand on chute on rebondit |
| On se refait comme des bandits, l’album sort en condi' |
| M’raconte pas ce qu’ils ont dit, ça change rien à ma destinée |
| Ma galaxie est trop agitée pour la dessiner |
| Rien n’est calculé, naturellement on se distingue |
| J’ai toujours fait la diff', c’est pour ça que je me sappe en Distinct |
| Je suis pas né dans la soie, Ikbal et moi on n’a pas d’autre choix |
| Que de banquer et voir nos gosses crier de joie |
| J’ai le mort, j’suis bon qu'à péter le score, j’remplirai Bercy à ras bord |
| Mes sons passent les frontières sans passeport |
| La plupart reconnaîtront le taulier du hardcore |
| Te prends pas la tête, même les prophètes n’ont pas mis tout le monde d’accord |
| J’honore la «Thug mental» à l'échelle mondiale |
| Ma musique s'épanouit partout où les gens ont la dalle |
| On est pas des perdants on gagne à coup sûr, comme Hollyfield |
| Tes oreilles garderont mes traces de morsure quoi qu’il arrive |
| Si je me fais tuer je sais qui ira me venger. |
| Provoqués par le don que j’ai |
| Les jaloux se réjouissent de me savoir en danger |
| En isolement dans la pire des maisons d’arrêt |
| Les menaces de mort font naître une angoisse à te foutre une diarrhée |
| Le malheur du grand aigle fait le bonheur des pies |
| Mais leurs chances sont bien maigres en cette période de répit |
| En dépit des évènements je bondis de rêves en cauchemars |
| Ne fais rager que les crevards, ma réussite un traquenard |
| Ces rapports conflictuels visent l’auto-destruction |
| Maîtrise tes pulsions, ne laisse pas l’orgueil prendre les décisions |
| La roue tourne, c’est chacun son tour |
| Je suis du bon côté du pompe et t’es parmi ceux qui courent |
| On peut te libérer de cette vie sous caution à notre stade |
| On parlera de paix avec mon gloque scotché sous la table |
| Je baisse pas la garde, même devant un manchot |
| Ils jouent les caïds au mic, mais devant la rue sont moins chauds |
| Impulsif de nature, à en faire trembler les autres créatures |
| De ta fenêtre, tu me vois triste, sur le banc comme un monstre abattu |
| On traîne la nuit entre malheureux, rien de glorieux |
| Mon coeur est trop cuit, mes acquis ne me rendent pas si heureux |
| Pro et sérieux, ma renommée je la dois qu'à moi-même |
| Je vais là où mon rap m’emmène, n’accepte pas tout ce qu’ils me ramènent |
| Ni cornes ni auréoles sur ma tête qu’on se le dise |
| J’préfère qu’on me crève qu’on me rackette, mémorise |
| J’suis pas maqué, mes couilles sont pas truquées ni imposables |
| Paré aux croisades les yeux ouverts dans une tempête de sable (ROH2F) |
| Comme Nike, mon blase est une marque |
| Quel plaisir de pouvoir se matter dans la glace du 94 (RO-ROH2F) |
| Quel plaisir de pouvoir se matter dans la glace du 94 |
| (translation) |
| I think about death constantly, it's the last testament |
| Consciously written, pretend I died recently |
| I don't rap hardcore to fascinate the bourgeois, like the other killjoys |
| Avoid being noticed in front of people, calm your joy |
| Too sincere to play star yet the brightest of the constellation |
| You all know it: keep your prices, your Revelations |
| No need for your blowjobs to maintain erection |
| I always feel alone in my direction |
| My voice smiles at you, my sound devalues their show |
| Express, felony, trime, cent, I wear my balls as a bling-bling |
| It's the end of the world, take my style as a sign |
| The more you hate me, the more I progress until I am murdered |
| Shake your head like a co-co-co-co-rooster, peck my rhymes |
| You can sing me hand on heart like a hymn |
| My word is more reliable than friendship, clearer than a truth |
| My regrets are good in their irritated skin |
| Survivor of immaturity, wealth of precariousness |
| In all humility, I have more than four truths |
| I'm only good at campaigning against the system |
| Contempt the authorities, get me on board, handcuffed under the sirens |
| I am this problem-ridden microbe |
| Who breaks his last bottle of Heineken to tag on his arm all his |
| hate |
| Spread out in the middle of the avenue before the "Pin-pon" intervened |
| I walked as far as I could, I became what I could |
| One is master of one's body as one is master of one's vehicle |
| We are not in control of our death but we are in control of our experience |
| I was born without guarantee, and when we suffer in slow motion |
| Comes the idea of violating these urges |
| That condition you to draw in front of yourself, insult the judge |
| And your daronne is not at the end of these sentences that you are serving |
| The best refuge is in the din, it makes you look good |
| Ablution purifies your hands stained with hemoglobin |
| Proud to be Muslim, may God guide me if I'm not worthy |
| With or without the stain on the forehead we are good people, deep down we are hnine |
| Even wisdom doesn't make perfect, feel the good intention |
| Although I admit to being in no position to give lessons |
| Strange paradox between deeds and words |
| 'Cause it's always war between my angels, my demons |
| Temptations surround me, weaken me and turn me away |
| Too many balls and coins in nature, your head is spinning |
| Satan sneers when you don't get up to do sobh |
| You don't hear the adhan but the call of the pennies even when you're deaf |
| For those who drink the cup in the hrra, blam blam |
| I send signals for the castaways in the haram |
| 'Cause the ghetto wanna shine the zermi |
| Grilled face that we try to pass off as a fake license |
| At prayer we got back to it, failing to delay doing it |
| Proud Harami, slams rear wheels through the halls of hell |
| Here's the slate of sins, we hope to be fished out |
| We take our time instead of rushing |
| We're looking for a plan, money or ne-chié |
| Some look like they're pissed off when a brother is preaching |
| Just that swears hakdin Islam, drunk or perched |
| "Sacrificed Generation" has diverted your conscious, committed rap |
| I lost my blood while the others hid |
| Mixed by evil and good, I don't deny my color |
| I have the hair bristling to have seen all the pain |
| "Regret" made you cry, gave you strength and even pushed |
| Whipping your efforts like a horse to get ahead |
| My life a metaphor, don't bite the hand that fed you |
| Don't judge me and take the good side of rotten fruit |
| I bet what little good I had in me |
| I gave a piece to those who have a kid from me |
| Trials can make you a better man |
| Make you the best, to see a better world in you |
| I flirted with fear at gunpoint |
| I taunted death spreading my arms, losing my temper |
| I made mistakes that the Sheitan whistled |
| I fornicated, I smoked, I drank, but never snorted |
| I pointed, I hit, I slapped even shoot to brief |
| But never fucked a friend, yet my back is scratched |
| I'm the guy we never really loved |
| I presented the future to my neighbour, in return he blamed me |
| I came in peace, illegally armed |
| I learned the handling without the army, the survival instinct allows it |
| Either you act or you die, God preserve me |
| The morgue keeps you and the chtar will have to make your dreams escape |
| My rhythm of life, spiced with jealousy, hypocrisy |
| Took me into the current of frenzy |
| And consequently diminished my clairvoyance |
| Because we take advantage of your talent and your bravery |
| It took the light to go out for me to realize |
| And learn to recognize occasional friends |
| Scary, stressful, waking up with a bloody mouth |
| As we fall asleep in the arms of fury while biting our teeth |
| The knotted stomach, we fart in the sheets, dreaming of being released |
| Lulled by the cries of the rats to whom I dedicate this rap |
| 'Cause they didn't spit on the rest of the bowl I poisoned with water |
| bleach |
| I saw them die in this cruel world |
| This is the view from inside a bullet hole |
| 40 degrees in the shade, I haven't shaved the walls of the promenades |
| Check, check, the code of horror, judged by the penal code |
| For me it's banal, I mean it's not Bonnal's business |
| Media beating, nothing dramatic |
| Loneliness is my homie, my bitch, she charms me in public |
| A small emotional tear for the daronne called to the bar |
| How to plead against one of his sons when the eldest risks the closet |
| The proc' an arbiya bought by the State |
| Master Haik can't help it and I'm not Rachida's brother |
| My life laid bare, reporters at the helm |
| Pinocchio fantasizes, he wants my place and my part |
| Don't take your big brother as a rival, but as an example |
| Know that if you are looked at a little, it's because you look like me |
| Why are you running, shouting "Police, help!" |
| I wasn't gonna shoot you but maybe cross you for love |
| Just kidding, you don't choose your family |
| I forgive, because our dear mother is still alive |
| For every evil a good, we come out stronger, when we fall we bounce back |
| We redo like bandits, the album comes out on condition |
| Don't tell me what they said, it doesn't change my destiny |
| My galaxy is too choppy to draw |
| Nothing is calculated, naturally we stand out |
| I've always done the diff', that's why I'm in Distinct |
| I was not born in silk, Ikbal and I have no other choice |
| Than to bank and see our kids screaming with joy |
| I'm dead, I'm only good at breaking the score, I'll fill Bercy to the brim |
| My sounds cross borders without a passport |
| Most will recognize the hardcore boss |
| Don't worry, even the prophets didn't make everyone agree |
| I honor the "mental Thug" globally |
| My music flourishes wherever people have the slab |
| We ain't losers we sure win like Hollyfield |
| Your ears will keep my bite marks no matter what |
| If I get killed, I know who will come to avenge me. |
| Caused by the gift I have |
| Jealous people rejoice to know I'm in danger |
| In solitary confinement in the worst prison |
| Death threats cause anguish to give you diarrhea |
| The misfortune of the great eagle makes the happiness of the magpies |
| But their chances are slim in this respite |
| Despite events I leap from dreams to nightmares |
| Only make the crevards rage, my success a trap |
| These conflicting relationships are aimed at self-destruction |
| Control your impulses, don't let pride make the decisions |
| The wheel turns, it's each his turn |
| I'm on the right side of the pump and you're among those running |
| We can bail you out of this life at our stadium |
| We'll talk about peace with my goblet taped under the table |
| I don't let my guard down, even in front of a penguin |
| They play the bosses on the mic, but in front of the street are less hot |
| Impulsive in nature, causing other creatures to tremble |
| From your window, you see me sad, on the bench like a downed monster |
| We drag the night between unhappy, nothing glorious |
| My heart is overcooked, my achievements don't make me so happy |
| Professional and serious, my fame I owe it only to myself |
| I go where my rap takes me, don't accept whatever they bring me |
| No horns or halos on my head let it be said |
| I prefer that they kill me that I racket, memorize |
| I'm not masked, my balls are not tricked or taxed |
| Ready for crusades with eyes open in a sandstorm (ROH2F) |
| Like Nike, my name is a brand |
| What a pleasure to be able to matter in the ice of 94 (RO-ROH2F) |
| What a pleasure to be able to watch in the ice of 94 |
| Name | Year |
|---|---|
| Trop Dangereux | 2005 |
| La Puissance | 2005 |
| Sécurisé ft. Dadju | 2021 |
| Tdsi | 2003 |
| Le Son Qui Tue | 2004 |
| Qui Est L'exemple ? | 2003 |
| Ti amo t'es à moi ft. Amel Bent | 2013 |
| L'Expérience ft. GIMS | 2021 |
| Rap Game | 2008 |
| Maintenant ou jamais (feat. Rohff) ft. Rohff | 2012 |
| On fait les choses ft. Pit Baccardi, Rohff | 2019 |
| Paris | 2008 |
| Loyauté | 2023 |
| Fraude ft. AP du 113, Intouchable | 2024 |
| Fake Love | 2021 |
| Tout passe | 2021 |
| Ne me juge pas | 2021 |
| Raisonner | 2021 |
| Hall of Fame | 2021 |
| Trop d'histoires | 2021 |