Mes nuits de centre-ville
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Celles entre naufragés
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De liaisons en enseignes
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Il pleut comme moi, je saigne
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Mes nuits de centre-ville
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C’est un film censuré
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À l’heure où je m'éveille
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Vous glissez nus sous les draps
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Tandis que moi, je sors quand la ville dort
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Et que j’embrasse des filles qui parlent fort
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Que nous levons nos verres à la lumière
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Que nous dansons jusqu'à la petite mort
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De tout ce temps qui meurt lorsque l’on dort
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De c’que j’en sais ne reviendra jamais
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Les lumières apparaissent
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Mes nuits de centre-ville
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Sont blanches et tamisées
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Personne ne me réclame
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Plus personne ne me blâme
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Mes nuits de centre-ville
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C’est une vie d'à-côtés
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À l’heure où je m’enflamme
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Vous glissez nus sous les draps
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Tandis que moi, je sors quand la ville dort
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Et que j’enlace des filles qui parlent fort
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Que nous levons nos verres à la lumière
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Que nous dansons jusqu'à la petite mort
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De tout ce temps qui crève pendant qu’on rêve
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De c’que j’en sais ne reviendra jamais
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Vous glissez nus sous les draps
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Tandis que moi, je sors quand la ville dort
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Et que j’embrasse des filles qui parlent fort
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Que nous levons nos verres à la lumière
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Que nous dansons jusqu'à la petite mort
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Tandis que moi, je sors quand la ville dort
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Et que j’embrasse des filles qui parlent fort
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Que nous levons nos verres à la lumière
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Que nous dansons jusqu'à la petite mort
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De tout de ce temps qui file à l’aise, tranquille
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De c’que j’en sais ne reviendra jamais
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Ah-ah-ah-ah-ah
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Les lumières apparaissent |