| Pour une fois, je m'étais décidé à semer mes principes
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| Pour une fois, je m'étais écrié «ce soir, je m'émancipe»
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| Très sûr de moi, j’avais mes beaux souliers, j’suis entré dans la danse
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| Y’avait pas d’quoi être maître de ballet pour garder la cadence
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| Tenez-vous bien les poupées car ce soir, je suis plein d’idées folles
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| Tenez-vous bien les poupées car ce soir, je prends la parole
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| Là devant moi, y’avait une de ces filles comme on colle aux affiches
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| Au fond de moi, y’avait comme un génie qui me criait «chiche»!
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| Et c’est ainsi que, bravant la fumée, je lui lance une œillade
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| Je suis verni car la belle subjuguée tombe dans l’embuscade
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| Crénom de nom ! |
| Fallait-il que je l’aime pour suer de la sorte?
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| Sacré démon qui faisait rimer «je t’aime"avec «va vers la porte»
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| Tenez-vous bien les poupées car ce soir, je suis plein d’idées folles
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| Tenez-vous bien les poupées car ce soir, je prends la parole
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| Il est trois heures, je suis seul dans mon coin, garçon encore un, vite !
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| Ayez bon cœur, ce n’est si bien, je veux vivre la suite
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| Remontez donc cette fichue machine à fabriquer les rêves
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| J’ai d’quoi payer, je travaille à l’usine, encore un et j’me lève
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| Tenez-vous bien les poupées car ce soir, je suis plein d’idées folles
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| Tenez-vous bien les poupées car ce soir, je prends la parole
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| Tenez-vous bien les poupées car ce soir, je suis plein d’idées folles
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| Tenez-vous bien les poupées car ce soir, je prends la parole. |