| Demande-toi pourquoi toi, des phases en kilos
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| Pourquoi pas un autre, pourquoi cette feuille, et pourquoi ce stylo
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| Représenter tes frères? |
| Facile, pas d’inquiétudes, grand
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| Mais pourquoi tu t’en crois capable, et surtout pour qui tu t’prends
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| T’es qu’un mouton dans l'équation du théorème
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| Deux rappeurs ne s’entendent que pour parler mal d’un troisième
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| La route est longue, arrête de croire qu’les gars s’aiment
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| Tu lutteras d’ta première rime à ton premier chèque Sacem
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| Ferme ta gueule et bosse ton rap, deviens grave fort
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| Pas besoin d’faire le mec hardcore si tu mets tout l’monde d’accord
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| Ne deviens pas ce jeune connard, aucun principe
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| Qui rajoute des violons, qui pense que sa merde est un classique
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| N'écoute pas tes nouveaux potes, c’est des soluces qui durent ap'
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| Qui disent: «Mon frère, on est ensemble», qui disent: «C'est plus que du rap»
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| Frère, les coups d’main c’est rare comme péter l’million avant l'âge
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| Ne côtoie les rappeurs que par intérêt à ton avantage
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| Tu crois en toi, accroche-toi à tout ça, mais…
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| Ne laisse jamais personne te dire: «Jamais !»
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| Cette musique c’est une maladie, tu peux pas faire l’deuil
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| «J'arrête le rap !»: c’est l’fossoyeur qui s’fout d’la gueule d’un cercueil
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| Se jeter à l’eau, comme un freestyle sur les quais d’Seine
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| Et pourquoi toi sur cette affiche, qu’est c’que tu fous sur cette scène
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| Si t’as plus à dire que les autres: écris un bouquin
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| Si tu choisis l’rap, imbibe de vérité ton message
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| Si on t’appelle «Sale imposteur», calcule pas ou nie
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| Tu prends des sous, t’sais pas rapper #Laouni
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| Un jour tu deviendras quelqu’un, à un autre rang
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| Tout c’que tu peux, prends «Quoi? |
| Alors t’es devenu quelqu’un ?»
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| Ils t’parleront d’ta concurrence, te laisse pas faire
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| Ne laisse, ô grand jamais, personne te dire c’que t’as à faire
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| C’est dans la vie comme dans l’rap, des bâtards courtois
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| Le temps qu'ça dure, trouves-en un sincère, vraiment content pour toi
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| T’es fou toi ! |
| Réalise c’que tu vis, faut qu’tu captes !
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| Les gars d’ton âge tuent pour la paye, et toi on t’paye pour du rap
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| Des p’tites sommes, mais pour les gars d’chez toi c’est l’Loto
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| Le seum du RSA, derrière les «Bsahtek, poto !»
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| Tu croques le rap, les soucis tu laisses, ta cité tu fuis
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| Ne dis jamais: «Envie je n’ai pas, fatigué je suis»
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| Ton caïd n’est pas si méchant
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| Arrête de t’foutre de leur gueule: c’est pas qu’du rap, mec, c’est la vie des
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| gens
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| Attends, attends… J’en suis là ! |
| Yep !
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| Fallait qu'ça pète un jour, ma carrière sent le sans-plomb
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| Miroir, miroir, dis-moi qui est le champion
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| Sors le oinj' vite fait… Comme à l’ancienne…
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| Moi, j’dormais dehors, Jack et Daniel’s sont mes seuls pistons
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| Ce son n’a pas lieu d'être sans remercier Malik et Fiston
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| Des rêves de miséreux: concerts, champagne et villa
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| Au temps où Karismatik ne s’appelait pas «Abdelillah»
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| Cette grande époque, où on pouvait s’appeler la mif', sans tarif
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| Regarde c’que c’est devenu sans Djamal et sans Larif
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| Trouver l’payeur quand c’est la gloire qu’on rançonne
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| L’instru qui frappe, le rappeur cogne, et puis le téléphone qui sonne…
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| «- Ouais, allô?
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| — Ouais, allô, Sofiane?
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| — Ouais, ouais !
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| — Ouais, c’est Karim le producteur de Sinik ! |
| Tu vas bien?
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| — Ouais, ouais, et toi?
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| — Ouais, j’ai écouté ton truc, on pourrait s’voir?
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| — Ouais, pas d’soucis !»
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| À l'époque, Six-O-Nine c'était plus qu’un espoir
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| «Il commence son histoire», «On a kiffé ton truc, on voulait t’voir»
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| Le rendez-vous est pris, signé en quelque sorte
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| Imagine un p’tit footballeur qu’a l’PSG devant sa porte
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| Certains redoutent la gloire, plus qu’l'échec: ils la craignent
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| J’ai compris qu’j'étais pas une fourmi quand j’ai rencontré la reine
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| Refuser c’est d’la folie, trahir c’est gênant
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| J’ai choisi mon miroir, et ma conscience dit qu’la réponse est «Nan»
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| J’ai pas l’profil d’une victime, c’est chacun sa team
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| Mon équipe c’est Kalla' et Nock-pi, mes amis intimes
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| Dis-neuf ans, décider d’tout gagner ou d’tout perdre
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| Logique de continuer avec ceux qui m’ont trouvé dans la merde
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| Ne pense qu'à toi, le seul juge de c’que t’as souffert
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| Reste pas avec des mecs qui veillent à c’que tu restes sous terre |
| Si c'était à refaire, assurément j’ferais autrement
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| Mais les choses sont telles qu’elles sont, et ce n’sera jamais autrement
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| J'étais l’enfant seul d’Oxmo, sans la peur des coups
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| J’suis tellement d’la rue, que j’crois qu’j’ai accouché par une bouche d'égout
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| Pas pour l’oseille, j’voulais qu’ma musique t’appartienne
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| Seulement changer la vie d’certains, comme certains ont changé la mienne
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| J’ai cassé les portes des radios, des freestyles partout
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| De la voix, d’la présence, du charisme: j’arrache tout
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| J’sais qu’pour redémarrer, ça prendra des mois
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| Mais la leçon est prise: en vrai, la seule arme c’est moi
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| Le mercato commence, te fous pas d’moi j’ai pas d’dream
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| Faire paniquer les gens c’est simple, comme un coup d’fil de La Fouine
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| Fif a des couilles, Stick et Rap2Tess gé-char
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| J’entame la Booska-Tape un peu comme un lion au milieu des chats
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| Pour le peura, j’me suis réveillé à 7h
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| Trop modeste ou trop lent à me rendre compte que j’leur faisais peur
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| Trahis pas tes principes, ton idole n’est qu’un homme
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| La rue n’est pas une pute qu’on peut trouver sur «Inchallah.com»
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| S’accrocher à l’espoir qu’la vie n’est pas si nulle
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| Vivre dans ses rêves sans s’réveiller, être à un doigt du ridicule
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| On meurt adolescent alors qu’on sait s’taper
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| Une femme, des gosses: écoute mon peura comme la deuxième vie d’un rescapé
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| J’ai fait la guerre de cent ans, à remballer Jeanne d’Arc
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| Si tu savais d’où j’viens, pour moi le rap c’est Center Parcs
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| Demande à ma ville, j’suis qu’un rappeur sans apôtres
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| Si moi j’suis trop caillera, c’est mieux pour eux qu’ils aient pas vu les autres
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| Perdre mes frères, c’est l'étape que j’ai pas franchie
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| Le même équipe et 2011 signe le retour des affranchis
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| Surprise comme l’apparition d’mes frères dans ma tracklist
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| Il ne manquait qu’Instrukshen pour compléter ma Blacklist
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| Et la musique a parlé, sorti mes roues d’ses bâtons
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| Ces chapes de plombs, ces plafonds, j’ai cassé avec mon front
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| Avoir du poids c’est bien, savoir rapper c’est l’or
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| Vivant parce que j’suis fort: si j'étais nul, j’serais mort
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| J’te conseille d’arrêter là si t’as pas pris d’thunes
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| Certains recherchent une major, à l’heure pile où on en fabrique une
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| Ceux qui n’me connaissent pas diront: «C'est qui Haada ?»
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| INM Mafia: oublie le passé, tout démarre de là
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| J’vois les rappeurs horribles, j’vois les chanteuses horribles
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| Sans potentiel, t’as dépensé, t’as pas d’buzz? |
| Horrible
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| Le rapport de la rue au rap, j’te l’donne en un cours
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| J’ai battu mon record avec mes treize bagarres en vingt jours
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| Les labels veulent ma rime, les cités veulent ma tête
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| Les rappeurs cherchent ma crédibilité quand j’aimerais faire la fête
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| J’crèverai pas pour le rap, pour une seule chose j’en bute un
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| Personne peut dire à mes garçons: «Ton père était une putain»
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| Bosser avec des vrais, pas d’mensonges symphoniques
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| Merci à Baptiste et Chinois #Synchronik
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| Plus d’temps à perdre, j’enterre les promesses par dizaines
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| Merci à Secundo, merci à Madizm
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| Elle est pour vous cette chanson qui sans façon
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| M’avez offert du pain, quand dans ma vie, il faisait faim
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| Que reste t-il à part, des histoires de compères?
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| Offrir un château à ma mère pour la gloire de mon père
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| Dans l’crime, dans l’rap: recherche-moi, j’te couche !
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| J’entame une rime: à la fin de l’envoi, je touche ! |