| Dédicaces aux dealers de barrettes |
| Aux clandos qui rackettent en chaussettes, claquettes, les poches pleines de |
| pépettes |
| Tous les jours (tous les jours), c’est la fête |
| Tous les jours, tous les jours, on gerbe des traitres |
| On mène une vie de bandit (bandit) dans nos taudis |
| Nos amis deviennent parfois nos ennemis (nos ennemis) |
| Pourtant on veut vivre en paix comme Gandhi |
| Et chaque soir pouvoir soulever une nouvelle Candy |
| Mais on vit comme des bandits reur-ti, ler-dea handek aux vils-ci |
| Du lundi au lundi, on a la tête dans le zness-bi |
| Sheitan mes frères se canent et les condés ricanent |
| On se crame pour damer, on rame pour aimer, on s’acharne pur pas crever |
| Depuis petit ils disent qu’on est mal-élevé alors on vit en marge du système |
| C’est hardcore on est tous barges et moi L.I.M j'étais qu’un dealer de plus, |
| un voleur de plus, un grilleur de puces, un arracheur de plus putain |
| Le matin on a la hantise de la perquiz' cette mauvaise surprise que nous |
| réserve le biz en temps de crise |
| On fait couler le sang, cagoulé on rejoint les rangs des narcotrafiquants et |
| pan pan |
| Ça tire à cause d’une banane, c’est la même partout et pas qu'à Paname |
| On a tous tant de soucis dans le crane, tous en manque de ou-s tous ici on vit |
| dans le drame |
| On mène une vie de bandit (bandit) dans nos taudis |
| Nos amis deviennent parfois nos ennemis (nos ennemis) |
| Pourtant on veut vivre en paix comme Gandhi |
| Et chaque soir pouvoir soulever une nouvelle Candy |
| Mais on vit comme des bandits reur-ti, ler-dea handek aux vils-ci |
| Du lundi au lundi, on a la tête dans le zness-bi |
| (Denver) |
| On use des stratégies les plus sombres pour se faire une place |
| Dans un palace qui ressemble au Dallas plus classe |
| Les pétasses, la caillasse bouge leurs fesses |
| Laisse les liasses, y’a que le patron qui pique dans la caisse |
| Qui veut les restes de ces insectes, une balle dans les pecs |
| Sale traitre ça sent la défaite, la mort fait recette |
| Le diable en fait en quête de personne que rien n’arrête |
| (LIM) |
| Dans nos cités, on vit dans l’illégalité |
| On vole par nécessité, on deale par nécessité |
| On s’tape pour exister, on devient parano |
| Pour éviter de se faire péter pour du bédo |
| En vérité c’est chaud comme nous tous quand on brule tout dans la rue |
| Et qu’on sort les kabbouzzs, pousses toi et laisses nous faire nos affaires couz |
| Les stups c’est made in 92 |
| On mène une vie de bandit (bandit) dans nos taudis |
| Nos amis deviennent parfois nos ennemis (nos ennemis) |
| Pourtant on veut vivre en paix comme Gandhi |
| Et chaque soir pouvoir soulever une nouvelle Candy |
| Mais on vit comme des bandits reur-ti, ler-dea handek aux vils-ci |
| Du lundi au lundi, on a la tête dans le zness-bi |
| Attiré par le mal qui m’acclame, j’entends la danse macabre |
| Dans la rue y’a de la came, des armes, des cadavres |
| Du sang pour les braves, égorge pour des Faf La rage paie cash |
| Chasse ceux qui jouent à cache-cache, ceux qui tentent le clash |
| Les lâches qui fâchent, ceux à qui on crache au visage pour faire passer le |
| message |
| La drogue, mon idole ce rôle me colle depuis les cours d'école depuis mon |
| premier vol |
| Vise le pactole, les folles pleines d’alcool qui ronronnent dans la bagnole |
| Et on évite la taule beaucoup de guignols plein de fioles font les bad boy se |
| sentent et me sortent un Laguiole |
| Le glock c’est pour les fortes têtes dès qu’on appuie sur la gâchette mec c’est |
| pour qu’une vie s’arrête |
| On a pas le temps de jouer, chaque jour on risque de se faire trouer |
| On mène une vie de bandit (bandit) dans nos taudis |
| Nos amis deviennent parfois nos ennemis (nos ennemis) |
| Pourtant on veut vivre en paix comme Gandhi |
| Et chaque soir pouvoir soulever une nouvelle Candy |
| Mais on vit comme des bandits reur-ti, ler-dea handek aux vils-ci |
| Du lundi au lundi, on a la tête dans le zness-bi |
| Dédicaces aux dealers de barrettes |
| Aux clandos qui rackettent en chaussettes, claquettes, les poches pleines de |
| pépettes |
| Tous les jours (tous les jours), c’est la fête |
| Tous les jours, tous les jours, on gerbe des traitres |