Frappe la vitre si l’oiseau est affolé, ouvre la cage en grand
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Casse les fenêtres, les oiseaux emprisonnés ne peuvent pas vivre autrement
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Frappe la vitre si l’oiseau est affolé, ouvre la cage en grand
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Casse les fenêtres, les oiseaux emprisonnés ne peuvent pas vivre autrement
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J’ai porté ma guitare toute ma vie durant pour ne pas me mettre en rang
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Quand arrive l’appel, la belle ribambelle, laisse la case en blanc
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Frappe la vitre si l’oiseau est affolé, ouvre la cage en grand
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Casse les fenêtres, les oiseaux emprisonnés ne peuvent pas vivre autrement
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Et je n’ai pas compris ni le pourquoi ni le comment
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Les hommes font la guerre et les femmes les enfants
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Frappe la vitre si l’oiseau est affolé, ouvre la cage en grand
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Casse les fenêtres, les oiseaux emprisonnés ne peuvent pas vivre autrement
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Frappe la vitre si l’oiseau est affolé, ouvre la cage en grand
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Casse les fenêtres, les oiseaux emprisonnés ne peuvent pas vivre autrement
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Sans commentaire la question monétaire est à l’enfer
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La toile de ciment sur la dalle de fer le carcan de pierre
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En temps de paix s’insinue la colère insidieusement
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Pendant ce temps elle t’attend ta place au firmament
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Et je n’ai pas compris ni le pourquoi ni le comment
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Les hommes font la guerre et les femmes les enfants
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Tourbillonnent les feuilles dans les ruelles au printemps
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Souffle souffle le vent et s’envolent tes tourments
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L’espoir est un fou qui rit sans mémoire ni parti pris
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Tombe tombe la poussière dans son cerveau qui s’enfuit
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Tourbillonnent les feuilles dans les ruelles au printemps
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Souffle souffle le vent et s’envolent tes tourments
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Dis-moi où est le courage sur le pont des colibris
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Il est parti en voyage sans adresse et sans sursis sans sursis
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Frappe la vitre si l’oiseau est affolé, ouvre la cage en grand
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Casse les fenêtres, les oiseaux emprisonnés ne peuvent pas vivre autrement
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Frappe la vitre si l’oiseau est affolé, ouvre la cage en grand
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Casse les fenêtres, les oiseaux emprisonnés ne peuvent pas vivre autrement |