| Je colonise ton sein pas à pas je domine le reste
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| Tout ça m’appartient en deux deux et en un seul geste
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| Tu seras le mien tu verras je serai ta secte
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| Je t'érigerai, exactement tout comme je l’souhaite (souhaite)
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| Je marquerai ton cou de mes visqueux suçons
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| Pour pas que tu coures vers d’autres vices cochons
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| Je tacherai ta moue et un à un de tes cheveux longs
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| De mon drapeau rouge et de mes imposants jurons
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| Tu n’seras que fière quand alors tu joueras les mères
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| Lorsque je que t’offrirai soudain tout un tas de joyeux gamins
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| Tu n’auras qu'à faire à l’heure et surtout bien te taire
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| Tu auras alors à terme une grande envolée de bons points
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| La cité des mâles veille sur le quartier des lunes
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| Elles veulent y faire leurs places et doivent y bouffer du bitume
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| De peine, de veine, tenaces
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| Elles brillent d’audace
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| S’enflamment, un flegme qui brûle, si belles
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| Bien plus qu’au soleil
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| La cité des mâles veille sur le quartier des lunes
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| Elles veulent y faire leurs places et doivent y laisser quelques plumes
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| De peine, de veine, tenaces
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| Elles brillent d’audace
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| S’enflamment, un flegme qui brûle, si belles
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| Bien plus qu’au soleil
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| Mh… (Mh…)
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| J'épuiserai ta flamme pour remplir mes mains
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| Du nerf de la guerre et comme un grand malin
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| Moi je jouerai aux dames, moi je ferai conquête
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| Sans trop que je tarde, juste un poil malhonnête
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| Tu seras sans fringues et bien à ma guise
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| J’t’habillerai de rien, juste de poignes possessives
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| Ils le verront bien qu’la terre est déjà prise
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| Ils verront mon flingue, oui mieux que ma main mise
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| J’me chargerai aussi que tu n’aies plus de choix
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| T'étaleras ainsi tout un tas de lois
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| Que tu repasseras sans te commander
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| Car il n’y a que toi qui sait bien les plier
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| Puis je t’caresserai comme pour t’apaiser
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| T’imposerai des chutes, pour pas t’révolter
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| Te bloquerai la nuque sans que tu révulses
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| Et je serai doux pute
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| Je serai fou
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| La cité des mâles veille sur le quartier des lunes
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| Elles veulent y faire leurs places et doivent y bouffer du bitume
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| De peine, de veine, tenaces
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| Elles brillent d’audace
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| S’enflamment, un flegme qui brûle, si belles
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| Bien plus qu’au soleil
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| La cité des mâles veille sur le quartier des lunes
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| Elles veulent y faire leurs places et doivent y laisser quelques plumes
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| De peine, de veine, tenaces
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| Elles brillent d’audace
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| S’enflamment, un flegme qui brûle, si belles
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| Bien plus qu’au soleil
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| Quoi? |
| N’as-tu plus besoin de mon torse?
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| Quoi? |
| N’as-tu plus besoin de moi lorsque
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| Dans la rue tu s’ras seule sans escorte?
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| Dis-moi, comment vas-tu faire sans écorce?
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| Quoi? |
| N’as-tu plus besoin de conseils?
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| Quoi? |
| N’as-tu plus besoin de mes règles?
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| Entends mes forts je t’aime et te surveille
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| Tu verras comme dehors c’est sans soleil
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| La cité des mâles veille sur le quartier des lunes
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| Elles veulent y faire leurs places et doivent y bouffer du bitume
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| De peine, de veine, tenaces
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| Elles brillent d’audace
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| S’enflamment, un flegme qui brûle, si belles
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| Bien plus qu’au soleil
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| La cité des mâles veille sur le quartier des lunes
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| Elles veulent y faire leurs places et doivent y laisser quelques plumes
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| De peine, de veine, tenaces
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| Elles brillent d’audace
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| S’enflamment, un flegme qui brûle, si belles
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| Bien plus qu’au soleil |