Song information On this page you can find the lyrics of the song Comme à l'usine, artist - Shtar Academy
Date of issue: 19.01.2014
Song language: French
Comme à l'usine |
Marseille centre-ville, Toulon, Vitry-sur-Seine Alfortville |
C’est S-Pi, Mirak, Badri, L.E.C.K |
Poto c’est que de la musique |
Bats les couilles de ta vie |
Tatoués jusqu’au string, ils s’prennent pour Michael Scofield |
XXX dans la che-bou, comme ça que j’les enfile |
Ratatatatatata ça bosse comme à l’usine |
Bosse comme à l’usine |
Bosse comme à l’usine |
En direct du hebs, j’te dis qu'ça bosse comme à l’usine |
Bobo-bosse comme à l’usine |
Bosse comme à l’usine |
En direct de Luynes j’te dis qu'ça bosse comme à l’usine |
Passez-moi un micro, une bouteille, un peu de popo |
2, 3, 4 0 khey et j’m’enjaille comme un pogo |
Vatos locos, surveille tes propos |
Survêt' Lacoste, khey, barre de fer mon logo |
Passe les vitesses, casse des vitres |
Rien qu'ça débite, efface-les vite |
Pas de limite, ça va trop vite |
Rien que des mythos XXX |
Parti de zéro, donnez-moi du seille-o |
J’pars faire des go-fast car la hess opère des kilos |
Ban-ban-ban-ban-ban-bang rafale dans les chicots |
Puis din-din-din-din-din-dingue, mon flou sort de l’hosto |
Miroir, miroir, mais qui raconte des ragots |
Pa-pa-parler derrière moi, marlich, XXX |
Bats les couilles de ta ville XXX ta grand-mère la maya |
J’allume un joint d’hilla, L.E.C.K rime avec XXX |
Hip-Hop convict, c’est poser ses couilles, ne pas pleurer sur son sort |
RSA, factures, loyer, impayés, donc j’suis enfermé même dehors |
J’suis là où ils s’aventurent pas |
J’viens d’là où tu reviens pas quand tu pars |
Et tu rases les murs, ferme-là si tu sers à rien comme les couilles du pape |
Tu pues XXX, rebeu, XXX dans mes artères |
Ici les sourires sont narquois, mauvais est l’oxygène #Bad air |
Vitry-sur-Seine, ville de cas soc', pas d’idées mais des RPS |
XXX tu cherches ma commune, t’as XXX sur le GPS |
J’ai presque arrêté les gardav', fuck up si tu aimes la haine |
Demande à la SPIP qu’elle enlève son S, tu comprendras ce que j’aime |
On bosse le son comme à l’usine pendant qu’certains travaillent la résine |
Mes textes sentent la ricine, c’est pour ça qu’mes couplets t’assassinent |
J’parle c’que j’connais, ouais mon vécu |
Sans déconné, j’attends les thunes |
Tu m’reconnais, grâce à ma plume |
Ou a ma tenue d’route, sur le bitume |
C’est que de la musique |
Mais les haineux deviennent asthmatiques |
Depuis j’ai trempé ma plume dans d’l’or, les jaloux sont anorexiques |
Ici c’est l’enfer, ouais, rien qu’on m’enferme |
Les jugent nous déferrent, tout est à refaire |
Touche pas mes affaires, barre de fer |
Révolutionnaire pour les frères déter' |
Ba-bats les couilles de ta vie, viens pas m’donner ton avis |
Moi j’n'écoute plus personne depuis qu’un sourd et muet m’a trahi |
Bababababa-bang rafale pour les gringos |
Puis dindindindindin-dingue sont devenus tous schizos |
10E dans les poches, des milliers sur un compte |
Fuck ce rapgame à la con, ils sont tous pétés à la skunk |
Tous pétés à la skunk, tous pétés à la skunk |
Beleck, à travers l'œilleton j’ai l’regard fusil à pompe |
Nique le chant des coqs, plus qu’les Corses, j’ai la cote |
J’allume le premier qui bouge, j’me répète pas mother fuck |
A la gorge, j’vais les tâcler |
J’viens pour tuer, eux pour blesser |
La concurrence, j’la respecte |
Ça m’empêchera pas d’la baiser |
Ce soir j’ai l’bras long, j’sors du ballon, black étalon |
J’prends des galons, oui j’ai l’canon, j’vise les talons |
Faire ber-tom mon vice XXX |
Quelques kilos coffrés à l’arrière d’un C4 |
Y a qu’les murs et les matons qui resteront coincés au Dépôt 4 |