| Celui qui était fort hier
|
| Ne sera que poussière demain
|
| Malgré la grandeur des refrains
|
| Et malgré l’arme qu’il a à la main
|
| Tout ce qui monte redescend
|
| Celui qui tombe se relèvera
|
| Si aujourd’hui je pleure dans tes bras
|
| Demain je repartirai au combat
|
| Non, ce n’est sûrement pas de briller
|
| Qui nous empêchera de tomber
|
| Non, ce n’est sûrement pas de tomber
|
| Qui nous empêchera de rêver
|
| Ce qui reste à jamais gravé
|
| Dans tous les cœurs disloqués
|
| N’est pas objet qui ne pense qu'à briller
|
| Mais plutôt tout geste de vérité
|
| Demain nous donnerons nos armes
|
| En offrande à Notre-Dame
|
| Pour ces quelques pécheurs sans âme
|
| En échange des ornements de nos larmes
|
| Non, ce n’est sûrement pas de briller
|
| Qui nous empêchera de tomber
|
| Non, ce n’est sûrement pas de tomber
|
| Qui nous empêchera de rêver
|
| Même les yeux, le cœur aveuglés
|
| Par l’alcool de sang troublé
|
| Par le frère de l’huître scellée
|
| Bien droit, nous continuerons à marcher
|
| Une fois deux par deux rassemblés
|
| Nous partirons le poing levé
|
| Jamais la peur d'être blessés
|
| N’empêchera nos cœurs de crier
|
| Non, ce n’est sûrement pas de briller
|
| Qui nous empêchera de tomber
|
| Non, ce n’est sûrement pas de tomber
|
| Qui nous empêchera de rêver |