Song information On this page you can find the lyrics of the song Pour les vrais, artist - La Fouine. Album song Sombre, in the genre Рэп и хип-хоп
Date of issue: 11.10.2018
Age restrictions: 18+
Record label: Banlieue Sale
Song language: French
Pour les vrais |
Eh yo Oster… j’tenais à te dire — bravo pour la prod ! |
Skurt ! |
Yah, yah, yah ! |
Sucer des bites m’intéresse pas, nique sa mère le CSA |
RSA khoya arrête ça kho, j’te redescends d’ton piédestal |
CDC c’est ma capitale, j’suis un ancien comme Abidal |
Tous ces rappeurs ont des couilles dans la bouche, j’crois pas que ce soient |
les amygdales |
Royal Offshore, j’ai pas ton temps, Baïla merci pour les pâtes au thon |
Présomption d’innocence n’existe pas si tu t’appelles Ramadan |
Roche Bobois, une chicha menthe, j’suis avec une meuf qui est chaude à mort |
Elle pense à moi, son mi amor, moi, j’pense à faire des mises à mort |
Au tribunal, assis sur un banc, on réfléchit, mais on tire avant |
Dans ton zen, j’ai vu un peu de blanc, tout baiser, khoya, c’est ça, le plan |
Banlieusard dans le Bentayga, dans le bendo, khoya, le biff, t’as pas |
Tu parles mal, on t’abat, dis-toi qu’on |
Per-ra pour les vrais, que pour les vrais |
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie |
On est frais, l’oseille on le fait |
On arrive tout droit de ces endroits délabrés |
On per-ra pour les vrais, que pour les vrais |
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie |
On est frais, l’oseille on le fait |
On arrive tout droit de ces endroits délabrés |
J’ai une bombasse à mon bras, t’as une seringue à ton bras |
Des fois c’est chaud, mais t’y arriveras, la vie rend dur comme le viagra |
J’regarde jamais l'étiquette, frérot, les prix je m’en bats les steaks |
J’emporterai rien avec moi, j’ai le front au sol, direction la Mecque |
Maman mes larmes n’ont pas séché, mon Seigneur, j’ai trop pêché |
Un jour, la mort va se dépêcher et j’paierai le dounia TTC |
Si ta balance au comico, oublie les sourires amicaux |
Dans la promenade sous l'œil du gradé, tu vas laisser quelques chicots |
Putain, ça schlingue à Bois d’Arcy, aujourd’hui, c’est Bois d’Argent |
«Nique sa mère monsieur l’agent», ce genre de phrase c’est alléchant |
Fils d’ouvrier, j’ai la vie d’un roi, tu veux percer, kho, crois en toi |
Quelques rageux m’envoient des tweets haineux en direct de Pôle Emploi |
J’vis la nuit, car on m’a dit que j’allais mourir un jour |
La vie est une pute khoya et chaque soir j’lui fais l’amour, dis-toi qu’on |
Per-ra pour les vrais, que pour les vrais |
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie |
On est frais, l’oseille on le fait |
On arrive tout droit de ces endroits délabrés |
On per-ra pour les vrais, que pour les vrais |
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie |
On est frais, l’oseille on le fait |
On arrive tout droit de ces endroits délabrés |
Eh yo bitch, tu veux test Fouiny, on s’en bat les couilles |
Texte explicite, sors l’automatique, on ramasse pas les douilles |
Dans le club, on t’a niqué ta mère, au shtar, on t’a dépouille |
Toujours sapé sur plusieurs gammes, on s’dit qu’même ta nne-chie mouille, |
même Cardi B mouille |
Khoya, t’a pris trop d’ecstasy et tu voyais partout des Mickey, whooh |
La go avec bouteille à l'œil, j’crois bien qu’elle a sucé le DJ (ohhh) |
Les footeux, c’est comme les rappeurs, la plupart du temps c’est surcoté |
Ils prennent le taureau par les cornes mais… du mauvais côté |
Ils veulent tester — des barres ! La fierté, l’honneur se font rare |
M’en bat les couilles, j’sors de chez l’concessionnaire dans le nouveau Velar |
J’ai connu des michtonneuses, vendraient leur mères pour du buzz |
J’ai jeté en l’air un an de leur salaires sur le cul d’une stripteaseuse |
On per-ra pour les vrais, que pour les vrais |
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie |
On est frais, l’oseille on le fait |
On arrive tout droit de ces endroits délabrés |
On per-ra pour les vrais, que pour les vrais |
Et on te laisse tter-gra quelques gobelets, nous on paie, on paie |
On est frais, l’oseille on le fait |
On arrive tout droit de ces endroits délabrés |