Y a que ma plume qui me nourrit, quand j'écris pas j’ai faim
|
Je ferme mes yeux, je vois son sourire alors j’le calque sur un dessin
|
C’est indécent, je ne sais plus pourquoi je le fais
|
Pour rendre fiers les miens ou bien pour vivre un conte de fées
|
Quand j'étais petit je voulais devenir un phénomène
|
Le genre de truc qui m’excitait plus que Noël
|
Et j’ai grandi, j’ai peur du vide que j’ai creusé moi-même
|
J’avais des rêves en tête avant de partir en guerre
|
Laisse-moi je compte sur la durée, je calculerai pas sur la longueur
|
B.L.Z nique les tetrais car avec eux il a vécu l’orage
|
Il attend le temps qui passe et se demande si ce sera pareil quand il aura leur
|
âge
|
A l’oral, gros j’ai la rage
|
Je fais pas mon taf à l’arrache
|
Je vis dans un rêve matrixé, je gravis les montagnes à la nage
|
Et j’ai tellement de regrets comme l'époque où je ne savais pas quoi regarder
|
chez une femme pour pouvoir la désirer
|
A quatorze sur la branche, rien d'étonnant qu’on finisse tous au sol
|
Une pensée à ma miff au ciel, mais tant qu’on est ensemble |
Il faut que tu saches que tout se console
|
Que tout se console
|
Mais faut qu’on s’barre de là
|
Paname c’est gris et j’gratte, deux barres je lâche un texte
|
J’ai dépassé la centaine avant d’avoir trempé mon sexe
|
Alors j’fais les choses bien
|
Au bout du huit-centième XXX avec mon Coca-Jack dans ma Cristaline
|
XXX surréaliste pour essayer d’comprendre leurs tords
|
La Terre et les bails trop sales qui traînent sur XXX
|
Les douzaines d’adultères qui font que toutes les filles qui me connaissent me
|
traitent tous comme un porc
|
Mais moi, et c’gars faut pas qu’tu croies qu’on fait la paire
|
J'étais pas lui au départ, j’le serais pas à l’arrivée
|
Alors bébé tu peux compter sur moi
|
J’garde ça depuis des mois, j'écris plus depuis des semaines
|
J’essaye un peu de m’faire du mal, droite-gauche
|
Et j’oublie pas ma garde, enfin des fois j’l’oublie
|
J’l’ai baissé consciemment
|
Des flashbacks imaginés sur des soirées mal finies
|
Mal de cœur et j’en n’dors plus les nuits
|
Ça fait quatre ans, ça fait quatre ans
|
Des quatre contre un |
Des gars qui tracent
|
Des qui t’rayent
|
Des gars qui t’rendent paro
|
Des gars qui t’rendent pareil
|
Qui t’rendent violent
|
Qui donnent envie d’tourner l’volant
|
A des moments où il faut pas
|
Petit faut pas et plus jamais
|
Baisse pas les bras
|
C’est d’parler d’rage qui nous rend humains
|
C’est parler d'ça qui nous rends unis
|
Donc c’est parler d'ça qui nous rends humains
|
C’est parler d'ça qui nous rends unis
|
Donc c’est parler d'ça qui nous rends humains
|
C’est parler d'ça qui nous rends unis
|
Donc c’est parler d'ça qui nous rends humains
|
C’est parler d'ça qui nous rends unis
|
Donc c’est parler d'ça qui nous rends humains |