Ils m’ont niqué le cœur, j’vois mon parpaing, j’lui fais un gros câlin
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Bellek track
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Le cœur refroidit par leur ingratitude, j’m’en rappelle quand j'étais 3ayn et
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comme dévisagé comme un alien
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Maintenant, ils sentent tous le sperme de l’haleine, la vengeance de la vie est
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belle comme un cœur
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Ou moche comme un corps à terre qui gît, ça bibi dans des keps à mon effigie,
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ouais
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Et la suite dépend du rendement, un passe-temps qui devient un redma
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Ça part voler la nuit, habillé chaudement, elle est glaciale la paire d’la GÀV
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Et j’sens des battements d’cœur à chaque péage comme si derrière la barrière,
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y a un piège
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Mais ça, c’est les séquelles d’avant, des fois, j’essaye d’réparer en aggravant
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Ce soir, j’mange en tête à tête avec la poisse, faut pas qu’ce soit ma liberté
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qui paye l’addition
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L'écriture, c’est comme une addiction, que dans l’réel, pas dans la fiction
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J'écris tellement d’sale que même la feuille se froisse, on verra si j’serai
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pas un taulier
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Un sac de billets ultraviolets, des grands aboyeurs qu’on fera miauler |
La rue c’est réel, tu sais, j’ai compris que pour blesser, y a pas que les
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balafres
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Sur le banc des accusés, là le système va t’user, te ronger jusqu'à l’os
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J’vois qu’les souris croient prendre du poids, c’est ça l’problème quand les
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rats sont pas là
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Ils m’ont niqué le cœur, j’vois mon parpaing, j’lui fais un gros câlin
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La rue c’est réel, tu sais, j’ai compris que pour blesser, y a pas que les
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balafres
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Un instinct d’survie qui survient au meilleur moment
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Tu sais, j’me demande même plus comment ils font pour être mauvais comme ça
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La réussite les tient au courant, c’est tout c’que j’sais
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Ils m’attendent au tournant, en train d’observer tout c’que j’fais, eh
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La hess, on la connaît tellement que mêmes les yeux fermés, j’ferai un portrait
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robot
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Et y a plein d’trucs dont j’peux pas parler si tu savais vraiment c’que doit
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porter mon dos
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THC m’a achevé, tu serais choqué du dos, tacheter par lâcheté, tu serais choqué
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du faux
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En manque de qualités mais rempli d’défauts, en manque d’humanité mais rempli |
d’dépôts
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On fait d’bon cœur c’qu’ils font par dépit, sourire moqueur quand on m’compare
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à des pitres
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Soif de vengeance, on en veut des litres, même quand c’est ma faute, des fois,
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j’en veux à l’autre (L'Humain, l’Humain)
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Concu', j’la broie à une main, j’crache par terre pour retrouver mon chemin
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J’ai peur de casser ton cœur si j’parle franchement
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Ce soir, j’mange en tête à tête avec la poisse, faut pas qu’ce soit ma liberté
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qui paye l’addition
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L'écriture, c’est comme une addiction, que dans l’réel, pas dans la fiction
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J'écris tellement d’sale que même la feuille se froisse, on verra si j’serai
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pas un taulier
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Un sac de billets ultraviolets, des grands aboyeurs qu’on fera miauler
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La rue c’est réel, tu sais, j’ai compris que pour blesser, y a pas que les
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balafres
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Sur le banc des accusés, là le système va t’user, te ronger jusqu'à l’os
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J’vois qu’les souris croient prendre du poids, c’est ça l’problème quand les
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rats sont pas là
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Ils m’ont niqué le cœur, j’vois mon parpaing, j’lui fais un gros câlin |
La rue c’est réel, tu sais, j’ai compris que pour blesser, y a pas que les
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balafres |