Hey
|
J’ai cette particularité: aucune confiance envers les femmes
|
J’ai peut-être connu trop tôt les concerts, les showcases, les foules et les
|
fans
|
Mets pas d’mascara, depuis p’tit, j’fais couler les larmes, pleurer les filles,
|
gueuler les dames
|
Devant mon cœur, y’a un guerrier qui brandit les armes
|
Des flingues, des lames, des cris, des larmes, mon cerveau crie,
|
mon corps reste calme
|
Dans ma folie et dans mon âme, j’reste incompris, j’me comprends mal
|
J’t’avoue: j’ai toujours eu du mal à faire confiance depuis l’enfance
|
M’attacher à quelqu’un, c'était pas dans mes plans, c'était pas très tentant
|
J’ai toujours trouvé relation parfumée; |
par tout genre de mensonges,
|
déception à la clé
|
J’vois les femmes comme ennemies, nan, mais attiré comme un aimant
|
Froid comme soleil de décembre, ouais ouais ouais ouais
|
Jamais voulu être blessant, maladroit comme à la naissance
|
Présent mais l’esprit est absent, ouais ouais ouais ouais
|
Si j’taille, normal, faut pas pleurer
|
Je viens, je pars, s’revoit jamais
|
À c’qu’il paraît, j’ai des yeux que pour toi, chacun d’mes textes
|
Chacun d’mes regards, tout c’que j’fais, c’est pour toi
|
J’vois les femmes comme ennemies, nan, mais attiré comme un aimant
|
Froid comme soleil de décembre, ouais ouais ouais ouais
|
Jamais voulu être blessant, maladroit comme à la naissance
|
Présent mais l’esprit est absent
|
Donc j’te l’dis gentiment: j’ai peur des sentiments
|
Dans ma tête, c’est la guerre, mon bunkoeur est en ciment
|
Donc j’te l’dis gentiment: j’ai peur des sentiments
|
Dans ma tête, c’est la guerre, mon bunkoeur est en ciment
|
J’ai pas envie d'être embêté, ni d'être embêtant
|
J’veux juste kiffer, le reste, c’est pas dans mes plans
|
C’est nul comme rappeur qu’est pas dans les temps
|
Tout droit comme patate dans les dents
|
Aucune confiance en la gente féminine
|
Chaque mot tiré est comme une balle à blanc, hey
|
Mets pas d’mascara, depuis p’tit j’fais couler les larmes, pleurer les filles,
|
gueuler les dames
|
D’vant mon cœur, y’a un guerrier qui brandit les armes
|
Des flingues, des lames, des cris, des larmes, mon cerveau crie,
|
mon corps reste calme
|
Dans ma folie et dans mon âme, j’reste incompris, j’me comprends mal
|
Donc dis-moi pourquoi, moi, j’suis comme ça
|
Les autres n’ont pas c’bloquage, pourquoi? |
Hey
|
Ça m’a toujours empêché, ah ouais, impossible de me laisser aller
|
De t’enlacer pendant des années, j’me lasse vite, faut me laisser y aller
|
J’vois les femmes comme ennemies, nan, mais attiré comme un aimant
|
Froid comme soleil de décembre, ouais ouais ouais ouais
|
Jamais voulu être blessant, maladroit comme à la naissance
|
Présent mais l’esprit est absent
|
Donc j’te l’dis gentiment: j’ai peur des sentiments
|
Dans ma tête, c’est la guerre, mon bunkoeur est en ciment
|
Donc j’te l’dis gentiment: j’ai peur des sentiments
|
Dans ma tête, c’est la guerre, mon bunkoeur est en ciment
|
Donc j’te l’dis gentiment: j’ai peur des sentiments
|
Dans ma tête, c’est la guerre, mon bunkoeur est en ciment
|
Donc j’te l’dis gentiment: j’ai peur des sentiments
|
Dans ma tête, c’est la guerre, mon bunkoeur est en ciment
|
En ciment, aïe, aïe, aïe, aïe
|
Aïe, aïe, aïe, aïe, lalalala
|
Aïe, aïe, aïe, aïe, lalalala |