Le nom c’est Palpal
|
Avec ou sans prétexte, on célèbre
|
On m’appelle Palpal
|
Les bâtards qui m’aiment pas se forcent
|
J’ai juré Palpal
|
J'écoute rien mais j’sais lire sur les lèvres
|
Et j’ai lu Palpal
|
En deux mots Palpal
|
Hey, hey, hey, hey
|
Un connard et un mec bien dans le même corps
|
Un panneau «free hugs» et un flingue dans le même coffre
|
Je ferai tout pour qu’on m’aime comme
|
Un ami, un amant, une idole
|
Ou un épicier ouvert à cinq heures du mat'
|
Je n’abandonne jamais si je suis toujours vivant
|
C’est que je suis le vainqueur du match (Hey)
|
J’veux un monde avec que des miroirs (Hey)
|
Une radio qui passe que ma musique
|
Vous avez besoin d’un sauveur mais moi, je veux que m’amuser
|
J'étais déjà bien égocentrique
|
Quand j’avais dix balais de moins
|
Ça vous dit pas d'être un peu plus stylés?
|
J’en ai marre de parler de moi (Pal)
|
Quand le malheur des autres se crée
|
Quel est le secret que les hommes heureux gardent? |
(heureux gardent)
|
Maman m’a dit: «faut se faire discret» (discret)
|
Mais c’est tellement mieux quand on me regarde (regarde)
|
C’est tellement mieux quand on me regarde (regarde)
|
Laissez-moi faire ce que je veux
|
Ou bien, je risque de le faire illégalement
|
J’ai pas pris mes calmants
|
Je dis que de la merde et tous le Joes kiffent
|
Mon hyperactivité ne fait que choquer
|
Depuis les signes chinois sur le Jogging
|
Ça vient de mes cellules comme un Disc Jockey
|
Je sais dire «je t’aime» et «je te baise» en plein de langues
|
Influencé par le monde entier dans mes disques
|
On se mélange et je vois des gens qui médisent
|
Inch’Allah, bientôt on est tous métis
|
Hey, hey, hey, hey
|
Suis-moi si tu veux voir des monstres gentils
|
On n’a pas le nez vert, ton kebab est pas bleu, mais on y a caché quelques
|
champis
|
Alors fais la fête avec nous
|
Les cains-ri diraient: «Come, come, come on»
|
Que du love jusqu'à la mort, le nirvana dans le corps comme Cobain
|
Pour trouver c’monde rrant-ma, faut de la drogue
|
Certains sont morts en le montrant mais
|
Si les chefs de c’monde fumaient de la keu-skon
|
Toutes les guerres s’arrêteraient en deux secondes (montre en main)
|
BTW, la politique peut sucer mon gros doigt
|
J’suis différent même des gens que je côtoie
|
Tu pensais quand même pas que j'étais comme toi?
|
T’es obsédé par le liquide mais t’es pas Rango
|
Me sors pas les mêmes conneries que tes parents gobent
|
T’es défoncé, tu repars en gov'
|
Mélange de pilules et de Whisky, miskine
|
Tu vas finir comme Octave Parango
|
(Palpal)
|
Avec ou sans prétexte on célèbre
|
On m’appelle (Palpal)
|
Les bâtards qui m’aiment pas se forcent
|
J’ai juré (Palpal)
|
J'écoute rien mais j’sais lire sur les lèvres
|
Et j’ai lu (Palpal)
|
En deux mots (Palpal)
|
Hey, hey, hey, hey
|
Un connard et un mec bien dans le même corps
|
Une lettre d’amour et un couteau dans le même coffre
|
Je ferai tout pour qu’on m’aime comme
|
Le docteur qui t’annonce que t’es séronégatif
|
Un frère ou un super-héros
|
Si tous les gens intelligents sont tristes
|
Je préfère être un imbécile heureux
|
J’veux un monde où tout est gratuit
|
La société m’a rendu marteau
|
Je recompte tout c’que j’achète
|
Depuis mon premier MacDo
|
Je voudrais bien donner des leçons
|
Mais j’suis qu’un simple tou-bab'
|
C’est dur d’avoir le poids de 2Pac
|
Quand t’as le visage tout pâle
|
Ok, Pal sait bien s’exprimer, mais il a connu la vie de white trash
|
Ce petit con est fier, des fois, il crie, des fois, il crache
|
Peut-être que la richesse, ça rend pas heureux
|
Mais crois-moi la pauvreté, c’est un fleuve de douleurs
|
J’ai oublié mon parapluie
|
Pourvu qu’il pleuve des dollars |