Hey, j’repensais à…
|
Yeah
|
Fais la cour aux femmes
|
Je fais la cour aux femmes
|
Hey, hey, yeah
|
On l’a fait dans le sofa
|
Je l’ai fait dans l'œsophage
|
Hey, hey
|
Pauvre de moi, j’me souvenais pas qu’on avait le pouvoir de danser comme ça
|
Quand on se laisse aller, laisse-toi aller
|
Laisse nos énergies faire, je veux plus parler
|
Je donnerais tout c’que j’ai sur moi juste pour te voir danser encore une fois
|
Quand tu te laisses aller, laisse-toi aller
|
Oublie les autres connards qui te regardent, yeah
|
Malgré la lumière, on ne voit plus que nous
|
La musique s’est arrêté, les aiguilles se figent et je sens, je te sens
|
Malgré la lumière, on ne voit plus que nous
|
La musique s’est arrêté, les aiguilles se figent et je sens, je te sens
|
Tu tends des pièges à tous les garçons
|
T’attends de voir lesquels vont gagner
|
Y’avait plein d’autres connards mais c’est moi celui que t’as choisi pour te
|
raccompagner
|
Seul avec toi, j’ai tellement d’chance
|
Dormir à tes côtés m’enchante
|
Allongé les deux yeux fermés, j’les ouvrirai si jamais tu m’enjambes
|
On se ressemble, triste en couple, heureux sans
|
On se parle pas, on se ressent
|
Elle s'étonne de voir le cœur de la bête
|
Y’a de la tendresse caché sous les crocs de l’homme
|
Y’aura jamais, jamais trop de caresses
|
Jamais, jamais, jamais trop de love
|
Je voulais qu’on trinque ensemble à la vie impossible qu’on aurait eu
|
Mais je bloque sur tes seins, on dirait presque que ça bouge
|
J’dois avoir la bite dans la tête quand tu me murmures dans l’oreille
|
Car j’ai l’impression qu’elle est tout près de ta bouche
|
Wah
|
Joli voyage
|
C’est comme une danse, danse avec moi
|
Pauvre de moi, j’me souvenais pas qu’on avait le pouvoir de danser comme ça
|
Quand on se laisse aller, laisse-toi aller
|
Laisse nos énergies faire, je veux plus parler
|
Je donnerais tout c’que j’ai sur moi juste pour te voir danser encore une fois
|
Quand tu te laisses aller, laisse-toi aller
|
Laisse-toi aller, laisse-toi aller
|
Malgré la lumière, on ne voit plus que nous
|
La musique s’est arrêté, les aiguilles se figent et je sens, je te sens
|
Malgré la lumière, on ne voit plus que nous
|
La musique s’est arrêté, les aiguilles se figent et je sens
|
La plupart des autres garçons sont trop mous
|
Je l’ai peut-être un peu plus brusquée qu’eux
|
Avec elle, tout devient beau même
|
Même quand on fait des trucs dégueus, ah
|
Parfois, je deviens vicieux comme Lou Reed
|
Je connais déjà la ville de son corps
|
Mais je l’ai visité comme un touriste, ah
|
Entre nous, y’avait qu’une barrière
|
On se rapproche en la sciant
|
Elle est brillante comme l’or, trempée comme l’acier
|
Tout son corps chauffe, tu connais la science
|
Nul n’est pleinement maître de ses excitations, merde
|
Je dois faire semblant de n’pas être impatient
|
À cet instant précis, j’ai pas d’autres passions
|
Je voulais qu’on trinque ensemble à la vie impossible qu’on aurait eu
|
Mais je bloque sur tes seins, on dirait presque que ça bouge
|
J’dois avoir la bite dans la tête quand tu me murmures dans l’oreille
|
Car j’ai l’impression qu’elle est tout près de ta bouche
|
Ne t’arrête pas, ne t’arrête pas
|
Nan, ne t’arrête pas
|
Pauvre de moi, j’me souvenais pas qu’on avait le pouvoir de danser comme ça
|
Juste en se laissant aller, laisse-toi aller
|
Laisse nos énergies faire, je veux plus parler, oh bébé
|
Je donnerais tout c’que j’ai sur moi juste pour te voir danser encore une fois
|
Pourvu que tu te laisses aller, laisse-toi aller
|
Laisse-toi aller, laisse-toi aller
|
Laisse-toi aller, laisse-toi aller
|
Laisse-toi aller, laisse-toi aller
|
Laisse-toi aller, laisse-toi aller |