| Y’a plus d’entraînement, c’est résigné, faut s’faire prier
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| Au beau milieu des vertiges et des clans d’serpents
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| C’est emmerdant, l’air discret quand j’prends les devants
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| Mais y’a un paquet d’vers minés
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| Faut terminer l’taf, comme un éclair qui s’mèle à l’enterrement
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| Pour mon escouade, j’peux faire toutes sortes d’exploits d’malade
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| J’ai un pacte presque intact et mes potes ne me déçoivent pas
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| Personne ne nettoie l’ardoise
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| J’sais qu’aboyer car la poisse, ça schlingue
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| Et j’compte que sur mes bras droits car y’a pas droit
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| C’est la loi d’la jungle
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| S’asseoir, ça craint, c’est vrai que j’préfère tenir les ficelles
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| J’ai l’air de dire des disquettes mais mes vers se fichent des critères
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| Donc là, j’bois ma pinte et p’têt que l’pire est d’s’y faire
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| Ne pas voir sa pointe, à croire qu'â jeun, on perd le fil
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| Les rêves de briller s’dispersent
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| C’est l’désastre mais c’est rare de rester par terre
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| Les sales querelles éclatent, merde, c’est grave, le respect s’arrête
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| Et j’ai pas l’remède des barrières, sache que j’supporte mes valeurs
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| Si jamais tu sors les armes, moi, j’ai ma meute près d’mes arrières
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| C’est pour mes frères et mes cousins d’ici
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| Si t’es des miens et que t’as rien à faire
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| Reste et roule un p’tit spliff, viens, on fera bien la fête
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| Même si nos cœurs sont atrophiés
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| J’pense qu’ils battent quand même pour eux
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| Ouais, c’est l’amitié qu’on apporte fièrement
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| Accompagné des frères, comprends si j’l’ouvre
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| Mec, j’ai mon clan qui m’couvre
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| C’est pour ceux qui vont rester longtemps qu’j’nique tout
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| J’les troquerai pas contre des partouzes ou des pétasses
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| Même si j’ai pas toujours été là
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| Les gars, pour vous, j’crée mes phases
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| Mes éloquents discours, toutes ces proses à la suite
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| V’là une averse de remerciements, ouvrez vos parapluies
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| J’les connais depuis que j’ai des dents de lait, tu captes
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| Et j’veillerai sur eux entre les nuages, quand j’serai plus làIls m’ont soutenu,
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| j’maîtrisais pas, sans blague, la soudure existait avant l’Rap
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| Pourvu qu’l'équipe reste là quand j’marcherai avec des cheveux gris
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| On est frères, même si on a pas là même mère, mamen, c’est c’que j’veux dire
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| Tu veux m’baiser?
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| J’ai mon clan qui m’couvre
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| Pas besoin d’frotter la lampe
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| Mais poser salement pour qu’mon génie sorte
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| J’veux pas d’déceptions, j’ai vu l'érection sous ton Levis Strauss
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| Bourbon Eristoff pour tous les frères à mes côtés
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| Beaucoup d’ces mecs savent m'épauler
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| J’te jure que tous sont mes idoles
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| Tu veux m’baiser?
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| J’ai mon clan qui m’couvre
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| Avec mes confrères, tu sais qu’j’ai l’même comportement
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| Ils savent que j’sais reconnaître
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| Une bête qu’est faite d’mon propre sang
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| L’effet défonce fortement, j’suis ce type qui frôle l’hystérie
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| Faut s’y faire, ma fine équipe se fiche des critiques quotidiennes
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| Et la nuit, faut s’distraire, sauf qu’on a fait fausse route bien vite
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| J’vois qu’on XXX dans un ruisseau d’dix mètres
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| Faut fuir l’ordre qui règne, les vautours insistent
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| Heureusement beaucoup XXX au cours d’un spliff et d’une cuite ordinaire
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| Les bouseux projetteront la fuite sans remord
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| Regarde la presse comme un tour de désert sur l’Rap et les imposteurs partent
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| On est des bosseurs, grave
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| Et tous nos brothers savent très bien
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| Qu’ici pour eux nos verres sont gratuits, c’est un open bar !
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| Tu veux m’baiser?
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| J’ai mon clan qui m’couvre
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| Pas besoin d’frotter la lampe
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| Mais poser salement pour qu’mon génie sorte
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| J’veux pas d’déceptions, j’ai vu l'érection sous ton Levis Strauss
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| Bourbon Eristoff pour tous les frères à mes côtés
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| Beaucoup d’ces mecs savent m'épauler
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| J’te jure que tous sont mes idoles |