Je suis violent sur le violon, billets violets que l’on voulais
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Faut pas s’affoler, prie, le seigneur va t'épauler
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Ici, la 0.9 ça porte la poisse (ça porte la poisse)
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Reste à ton poste, petit, enchaîne les passes (ouais, ouais)
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Y a pas de pauses, y a pas de boss dans nos blocs (dans nos blocs)
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Les coups de couteau, les coups de feu donnent le ton (paw, paw)
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J’viens de là où la misère nous connait bien (nous connait bien)
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Quelques fois, elle a même dormi dans mon lit (dans mon lit)
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J’reviens de loin, j’suis de retour quand l’hiver vient (quand l’hiver vient)
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J’peux dépenser ton salaire chez Louis V' (Gucci)
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Fais pas l’ancien, tu dates de la préhistoire, toi (toi)
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Laisse ta place, les tits-pe, ils ont la dalle gros (gros)
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J’ai même pas l’temps de douter tellement ça va vite (ça va vite)
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Tu tiens les murs, y a des équipes sur écoute (tu tiens les murs)
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On s’serre les coudes mais quand y a d’l’oseille, c’est bizarre (c'est che-lou)
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Pour les Parisiens, les banlieusards qui sont à-l
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Qui s’débrouille grave en été, en automne et quand il caille (il fait froid)
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Il faut qu’on taille, là, ça sent trop les chickens (les poulets)
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Sans rancunes mais d’abord, il faut qu’me venge (rah, rah)
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J’prends la prod, je l'étrangle, je la mange (je la graille)
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Y a encore beaucoup trop de choses qui me rongent (ça fait mal)
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Si c’est mon gang ou mes gains, je vois rouge (c'est le sang)
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Quand je frappe, c’est dans la lucarne qu’elle se loge (wow)
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Aucune attache, facile de tourner la page (tourner la page)
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C’est pas un jeu, dehors, les chacals ils ont faim (c'est pas un jeu)
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Faim d’oseille, faim de tout, faim de rien (faim d’oseille)
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Menotté, j’suis au dépôt, j’dirais rien (rien)
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C’est L.E.T.O, j’fais parti d’l’Akatsuki (oh oui)
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Ça remonte, ça redescends, que des litres (les litrons)
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Je chante la rue, je chante le hood, j’suis dans les rythme (c'est le hood)
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Si tu m’pull up, y vaut mieux pas que tu m’rates (rah, rah)
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C’est sûr qu’on va perdre des soldats dans la route
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Un coup de blues, un coup de «pah pah pah» (pah, pew)
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Un peu de flouz et tous les regards changent (un peu de flouz)
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Le re-fou, tous les jours, les recharges (la bonbonne)
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Toi tu sais as-p, le sale boulot qui s’en charge (qui s’en charge)
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J’broie du noir quand je cogite le soir
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À fumer du jaune tout seul, d’vant la Lune
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Que des drames, peu de moment de bonheur (de bonheur)
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Que des larmes quand l’un des nôtres meurt
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D’une bavure policière sans les preuves à l’appui (sans les preuves à l’appui)
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Han, que des larmes quand l’un des nôtres meurt
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D’une bavure policière sans les preuves à l’appui (double)
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Je suis violent sur le violon, billets violets que l’on voulait juste pour
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changer nos putains d’vies
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Que des problèmes, que des problèmes, que des problèmes, j’suis obligé d’aller
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pull up tous mes ennemis
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J’t’avais dis, d’pas faire confiances à ces fils de
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Je suis violent sur le violon, billets violets que l’on voulait juste pour
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changer nos putains d’vies
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Je suis violent sur le violon, billets violets que l’on voulait juste pour
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changer nos putains d’vies
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Que des problèmes, que des problèmes, que des problèmes, j’suis obligé d’aller
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pull up tous mes ennemis
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J’t’avais dis, d’pas faire confiances à ces fils de
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Je suis violent sur le violon, billets violets que l’on voulait juste pour
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changer nos putains d’vies
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Je suis violent sur le violon, billets violets que l’on voulait juste pour
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changer nos putains d’vies |