Lyrics Tapion - Kaaris

Tapion

Moi, j’ai choisi l’verlan LV1\nLes G.A.V. manquent de quotas, que d’injustices depuis Golgotha\nDame Nature m’a fait noir, mâle, chien\nEt l’Archange s'étonne «Quoi, comment t’as pu encore en élever un ?»\nParfois les hommes sont des monstres, et là\nTu te rends compte que l’animal n’est qu’une bête sans-gêne\nJe trape, je pète, pour aller percer vos hymens sous filigranes\nDes gros pet' pour aller chercher l’oxygène, khey\nDes que je peux, je marne, j’ai que des larmes de feu\nLe genre humain se contente de peu\nComme l’intérieur est moisi, alors il décore le tour\nJ’serai ton négro, tu m’choisis j’te ramènerai avant qu’la nuit ne dévore le\njour\nIls vont chialer, ont pris des risques\nDes grosses diahrées en guise de disques\nPlus pour leurs poches que leurs proches\nEt ils l’ont gravé dans la roche\nDites au DA que je sors du préau, j’ai un PA\nMon LP est macabre et j’vais le sanctuariser dans le marbre\nJ’ai vu mon blaze sur la tombe de l’artiste inconnu\nIls veulent me voir parmi les hyènes, ils veulent pas d’moi sur les hertziennes\nKaaris t’es avec nous, même quand tu pars tu fais mal\nEt tu manques, même quand t’es al\nJ’ai vu mon blaze sur la tombe de l’artiste inconnu\nIls veulent me voir parmi les hyènes, ils veulent pas d’moi sur les hertziennes\nKaaris tu fais mal, et tu manques, et même quand tu pars t’es al\nPuis vient ce jour où tu poses ton verre\nT'écrases ta cigarette et tu t’rends compte que 27 piges sont passées\nDepuis l’ovulation on m'éjecte, assassine population\nMais j’sais qu’fallait que j’rase à la racine, épilation d’vos schneks\nJ’ai vu ma gueule au grand journal, fiers de l’autre côté de la barrière y\navait lui, et elle\nIls jactent de leur carrière, yeux bleux, gueule blanche, bouche rouge\nIls ont pas l’art ni la manière mais la couleur de la bannière\nDes p’tits crimes sur des p’tits rings, liberté fraternité\nBeaucoup des miens sont en zone de rétention\nAttendent leur échéance pour avoir cru à l'égalité des chances\nFaut croire que la rumeur fait encore des victimes\nJ’rêve de grosses caisses, de grosses jantes, qu’elles disent toutes oui\nSuffit qu’tu glisses une pièce dans leur fente elles jouissent tout d’suite\nT’entendras p’têt jamais mon blaze avant de partir\nFaut croire que chaque cause doit avoir un martyr\nOumar,\n, RGT, tenez-bon les frères\nOn est les soldats sans treillis, on est là, si, si\nJ’ai vu mon blaze sur la tombe de l’artiste inconnu\nIls veulent me voir parmi les hyènes, ils veulent pas d’moi sur les hertziennes\nKaaris t’es avec nous, même quand tu pars tu fais mal\nEt tu manques, même quand t’es al\nJ’ai vu mon blaze sur la tombe de l’artiste inconnu\nIls veulent me voir parmi les hyènes, ils veulent pas d’moi sur les hertziennes\nKaaris tu fais mal, et tu manques, et même quand tu pars t’es al\nJ’ai vu mon blaze sur la tombe de l’artiste inconnu\nIls veulent me voir parmi les hyènes, ils veulent pas d’moi sur les hertziennes\nKaaris t’es avec nous, même quand tu pars tu fais mal\nEt tu manques, même quand t’es al\nJ’ai vu mon blaze sur la tombe de l’artiste inconnu\nIls veulent me voir parmi les hyènes, ils veulent pas d’moi sur les hertziennes\nKaaris tu fais mal, et tu manques, et même quand tu pars t’es al